Anthropic préfère payer 1,5 milliard de dollars pour éviter un procès pour téléchargement illégal de livres
La start-up américaine d'intelligence artificielle (IA) Anthropic a décidé de sortir le chéquier pour éviter un procès sur le téléchargement illégal de livres. Apparemment, leur Chatbot Claude était un grand fan de thrillers et de non-fiction, au point de les télécharger en masse sur des sites interdits. Vraiment, vaut mieux lire que d'être aveugle!
Un accord financier éclatant dans le monde merveilleux des IA génératives
Les auteurs, les éditeurs et les ayants droit se sont frotté(e)s les mains en apprenant que Anthropic allait débourser au moins 1,5 milliard de dollars pour compenser leur petit hobby illégal. Une belle leçon à toutes les IA qui pensent qu'elles peuvent pirater des œuvres impunément. Désormais, on sait comment punir une IA, pas besoin de lui donner une fessée électronique!
Un message fort envoyé à l'industrie de l'IA : pas touche aux livres des auteurs!
Mary Rasenberger, directrice générale de l'Authors Guild, a salué l'accord comme une victoire pour les auteurs et les éditeurs. Enfin une grande nouvelle dans le monde de l'IA, on a hâte de voir comment Anthropic va trouver les livres pour entraîner ses modèles maintenant sans passer par la case prison! ## Quand les IA jouent les pirates des temps modernes
# Des pirates de la Silicon Valley ?
La start-up en question risquait de se retrouver à la rue, à cause de ses pratiques douteuses en matière de droit d'auteur. On se demande s'ils auraient dû plutôt se mettre à la piraterie sur les sept mers, au moins ça aurait eu plus de style.
# Utilisation équitable, vraiment ?
Les IA géneratives se permettent tous les abus en se cachant derrière l'excuse de l'utilisation équitable. C'est vrai que c'est une excuse en or pour piquer des idées à droite et à gauche sans se soucier des droits d'auteur.
# L'IA contre les créateurs de contenu
Les créateurs s'inquiètent de voir leurs œuvres vampirisées par des IA sans scrupules. Mais bon, au moins maintenant les machines vont pouvoir pleinement prendre le relais pour produire des chefs-d'œuvre dignes de figurer dans les poubelles de l'histoire.