Zypadhera : le médicament antipsychotique devenu aussi rare que le bon sens en politique
Ah, le Zypadhera, ce joyeux mélange d'olanzapine donné aux schizophrènes dans une joyeuse version injectable fait parler de lui en ce moment. Mais pas pour les bonnes raisons, non, non.
Un médicament qui se fait désirer plus qu'une glace en plein été
D'après l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament, la remise à disposition du Zypadhera est tellement incertaine que même une voyante prédit mieux le futur. Et pour cause, le laboratoire Cheplapharm est embourbé dans des problèmes de fabrication et de chaîne d'approvisionnement qui rendent le médicament aussi rare que des politiciens honnêtes.

Entre les retards, les défauts de qualité et les dosages introuvables, le Zypadhera devient tellement rare qu'il pourrait bientôt être exposé dans un musée de l'histoire des médicaments.
Une date de reprise incertaine : comme la météo en Bretagne
Le laboratoire envisageait de faire revenir le Zypadhera sur le marché en septembre 2025, mais avec la situation actuelle, ils sont incapables de donner une date précise. C'est tellement incertain qu'on pourrait croire qu'ils prévoient une réception surprise, mais en moins festif. ## Sainte Agence, sauveur des patients fous
Ah, l'ANSM et ses recommandations pleines d'humour ! Les médecins sont invités à ne plus faire découvrir le Zypadhera à de nouveaux patients, pour laisser les anciens continuer à en bénéficier. C'est sûr que c'est tellement sympa de la part de l'agence de penser à ces patients déjà sous traitement.
Le choix de l'olanzapine : prendre un médicament plus souvent, quel bonheur !
Passer à la forme orale de l'olanzapine ? Quelle brillante idée ! Après tout, quoi de plus amusant que de prendre son médicament plus souvent, surtout lorsqu'on sait que le risque de ne pas suivre le traitement correctement est bien réel. Vive l'instabilité mentale et les oublis de prise de médicaments, c'est tellement drôle !
Importation exceptionnelle de Zypadhera : le trésor des patients français
Et le clou du spectacle, du Zypadhera 300 mg importé en France pour répondre aux besoins des patients. Transitoire et exceptionnelle, comme une petite cerise sur le gâteau des difficultés d'approvisionnement en psychotropes dans l'Hexagone. Ah, la vie est belle pour les personnes sous quiétapine, un neuroleptique qui se fait désirer. Merci l'ANSM pour ce spectacle digne des plus grandes tragédies psychiatriques !