Drôles de zodiacs pour traverser Karachi
Au Pakistan, les inondations continuent de faire des ravages, mais certains semblent s'en sortir plus ou moins indemnes. À Karachi, métropole de plus de 20 millions d'habitants, les habitants ont adopté un nouveau moyen de transport : le zodiac. Un choix pratique pour naviguer dans les rues inondées sans avoir besoin de gondolier.
Quand l'électrocution devient une activité électrisante
Les autorités locales ont fait une nouvelle découverte sensationnelle : il semblerait que l'électrocution soit devenue l'activité préférée des Karachiotes en cas de fortes pluies. Une véritable tendance électrisante qui inonde la ville, au sens propre comme au sens figuré.

Les toits des maisons deviennent de nouveaux toboggans aquatiques
À Karachi, la débrouillardise atteint des sommets lors des inondations. Les habitants ont trouvé une nouvelle utilité pour les toits de leur maison : les transformer en toboggans aquatiques géants. Une manière ludique de faire face aux intempéries et de s'amuser en même temps, un parc aquatique improvisé à ciel ouvert. ## Méga-inondations en vue au Pakistan
# Les autorités préviennent déjà : sortez vos bouées
Le centre météorologique pakistanais annonce des pluies à ne plus savoir qu'en faire dans le Sud du pays. Toutes les équipes de secours sont sur le qui-vive jusqu'à vendredi soir. On ne sait jamais, un déluge de grenouilles pourrait nous tomber sur la tête à Karachi et au Baloutchistan voisin.
# La météo infernale continue dans le Nord
La NDMA, de son côté, ne rigole plus du tout en prévoyant des pluies torrentielles jusqu'à samedi. Et cerise sur le gâteau, un nouvel épisode est attendu d'ici la fin du mois. Là, on se dit que le Pakistan est vraiment le paradis des amateurs de sensations fortes. Avec le changement climatique en prime, on ne sait plus où donner de la tête.
# La chaleur étouffante et la douceur des épidémies
Alors que les pluies s'éternisent, la chaleur reste bien présente, histoire de bien cuire tout le monde sur place. Les autorités s'inquiètent des bactéries et des épidémies qui pourraient se pointer le bout du nez. Parait-il que chaque année, l'eau stagnante invite la dengue à faire un petit tour au Pakistan. Les secouristes, épaulés par l'armée, continuent leur travail acharné pour éviter que le district de Buner ne se transforme en film d'horreur façon « Pluie de sang, épisode 2 ». Bon courage à eux, c'est du lourd.