Quand un établissement catholique se transforme en maison de l'horreur
On pensait que les seules victimes des établissements catholiques étaient les élèves obligés de manger de la morue le vendredi. Mais à Saint-Joseph de Nay, c'est toute une autre histoire qui se dévoile.
Plaintes en série pour "tortures, traitements inhumains et dégradants, violences physiques et psychologiques"
Eh bien, il semblerait que les professeurs et surveillants de Saint-Joseph de Nay aient pris leur rôle un peu trop au sérieux. On ne parle plus de coups de règle sur les knuckles, mais bien de violences graves, s'étalant sur plusieurs décennies.
Recommandation : si vous voulez éviter les cours trop stricts, mieux vaut éviter Saint-Joseph de Nay
Si vous aviez un doute sur l'endroit où envoyer vos enfants pour être éduqués, on vous conseille d'éviter Saint-Joseph de Nay. Apparemment, les cours de catéchisme étaient un peu trop musclés pour certains élèves. ## Scandale au collège Saint-Joseph de Nay
Ah là là, le collège Saint-Joseph de Nay ne lésine pas sur les moyens pour se faire remarquer. Entre les « baffes à le renverser par terre », les « passages à tabac » et les « punitions dans la cour en pyjama », on se croirait presque dans un film d'horreur. Et tout ça dans un établissement fondé en 1875, la classe !
Témoignages chocs
Le collectif qui a décidé de « briser le silence » a reçu une vingtaine de témoignages. On parle de « suspicions de viol », d'« attouchements sexuels » et même d'adolescents en pyjama subissant des punitions. C'est sûr, ils ont mis le paquet pour marquer l'histoire de l'éducation.
Histoires de curés
L’abbé Bernard Lartiguet, ancien séminariste à Nay, se retrouve au cœur de l'enquête. Même la fille du premier ministre, François Bayrou, n'a pas été épargnée par les violences physiques de ce prêtre lors d'un camp d'été. Avec toutes ces révélations, on comprend mieux pourquoi le collège avait 744 élèves en 2021-2022. Les familles devaient être ravies d'envoyer leurs enfants dans ce paradis de l'éducation !