Une tragédie en haute altitude
Oh la la, encore une histoire tragique en haute altitude qui nous rappelle que la montagne, ça ne pardonne pas ! Natalia Nagovitsyna, l'alpiniste russe, s'est retrouvée bloquée à plus de 7 000 mètres sur le Jengish Chokusu au Kirghizistan. Et non, ce n'était pas pour peaufiner son bronzage.
Des secours impossibles
Les autorités kirghizes ont bien tenté de sauver la mise à Natalia, mais apparemment, ils ont vite abandonné l'affaire. Il faut dire que les conditions météorologiques n'étaient pas vraiment du genre clémentes. Avec des températures glaciales et des tempêtes de neige, même un Yeti aurait du mal à s'en sortir.
La malchance au sommet
C'est sûr que quand on se casse la jambe en redescendant d'un sommet, ce n'est pas ce qu'on appelle de la chance. Natalia s'est retrouvée dans une situation bien délicate à attendre des secours qui n'arriveront jamais. Une situation qui nous rappelle que la montagne, ça n'est vraiment pas une partie de plaisir. ## Trop d'efforts pour rien
Deux alpinistes, un Italien et un Allemand, ont essayé de sauver une pauvre victime abandonnée à plus de 6 800 m d'altitude. Bien sûr, ils lui ont apporté de quoi survivre, mais malheureusement, ils se sont vite rendu compte que redescendre avec elle n'était pas une mince affaire. Résultat des courses : Luca Sinigaglia y a laissé sa peau, vaincu par un œdème cérébral. Une mort qui aurait pu être évitée, mais bon, le karma des montagnes est parfois cruel.
Des tentatives de sauvetage qui tournent au fiasco
Un hélicoptère de sauvetage kirghize, totalement motivé pour venir en aide aux malheureux, a fini par se crasher à 4 600 m d'altitude. Bravo pour l'atterrissage d'urgence, au moins ça, c'est du spectacle ! Et pour ajouter à l'échec, un groupe d'alpinistes se lance dans une mission sauvetage, mais leur chef ne se sent pas bien et il faut tout annuler. Les autorités kirghizes jettent l'éponge et décident d'arrêter les recherches. On peut dire qu'ils sont très motivés ces derniers...
Les miracles en haute altitude
Sauver des vies au-delà de 7 000 m, c'est pas vraiment une partie de plaisir. Au moins, deux sherpas ont réussi à redescendre une cliente chinoise sur leur dos, jusqu'au camp IV de l'Everest. Un exploit rare, presque miraculeux, dans cette fameuse "zone de la mort" où la moindre erreur est fatale. Bravo à eux, ça mérite bien une médaille !