Quand le thon devient un danger public
Alors là, c'est le drame ! Le thon contaminé au mercure fait trembler le ministère de l’agriculture qui, rappelons-le, est censé protéger les consommateurs. Mais apparemment, il n'y aurait aucune « défaillance » selon nos chers services de l’Etat. Ah ben oui, tant qu'on ne regarde pas de trop près, tout va bien, n'est-ce pas ?
Les mairies prennent les choses en main
Face à cette situation ubuesque, huit mairies ont décidé de réagir en bannissant le thon des cantines scolaires. On en est donc arrivé à un point où même nos enfants ne sont plus en sécurité face à un simple poisson. Bravo la sécurité alimentaire, on se croirait presque dans un sketch de stand-up.
Mercure, ce poison insidieux
Le mercure, ce joyeux cocktail de problèmes pour le système nerveux, est désormais présent dans nos assiettes via le thon et l'espadon. Et devinez quoi ? C'est toxique, surtout pour les plus fragiles, comme les enfants. Ah, la douceur de la vie moderne où même manger un bon poisson peut devenir un parcours du combattant pour rester en bonne santé. Merci qui ? Merci le progrès ! ## Le thon au mercure : une affaire qui fait des vagues
Ah, le thon en conserve, ce petit plaisir coupable que l'on aime tant déguster sans se soucier des conséquences sur notre santé. Et pour cause, une étude réalisée par les ONG Bloom et Foodwatch en octobre 2024 a mis en lumière un problème de taille : la contamination généralisée du thon au mercure.
La limite maximale dépassée, mais on s'en fiche un peu, non ?
Après avoir testé 148 boîtes de thon en conserve, il s'est avéré que plus de la moitié d'entre elles présentaient une teneur en mercure dépassant la limite maximale autorisée pour des poissons comme le cabillaud ou les anchois. Et pour le thon, c'est même 2,7 mg/kg qui ont été relevés, alors que le seuil maximal est normalement fixé à 1 mg/kg. Eh bien, on peut dire que nos boîtes de conserve cachent bien des surprises !
Vivement un abaissement de la limite maximale de mercure dans le thon à 0,3 mg/kg !
Face à cette situation peu rassurante, les villes de Mouans-Sartoux, Grenoble, Lille, Montpellier et Rennes ont décidé de mettre la pression sur les autorités. Elles réclament un abaissement de la limite maximale de mercure dans le thon à 0,3 mg/kg. Parce que bon, un peu de poison dans notre alimentation, ça ne fait jamais de mal, n'est-ce pas ? Peut-être que bientôt, nos conserves de thon auront un petit goût de sécurité. Qui sait ?