Quand le talent et la chance se rencontrent
Le Français Arthur Rinderknech a réussi l'exploit de se qualifier pour les huitièmes de finale de l'US Open en battant son compatriote Benjamin Bonzi. Rinderknech, âgé de 30 ans et classé 82e mondial, affrontera le redoutable Carlos Alcaraz, quintuple vainqueur en Grand Chelem. Alors, est-ce que Rinderknech a simplement eu de la chance ou est-il vraiment un génie du tennis ? Nous penchons plutôt pour la première option...
Mannarino rejoint la fête des huitièmes de finale
Adrian Mannarino, quant à lui, a rejoint la fête des huitièmes de finale après l'abandon sur blessure de l'Américain Ben Shelton. Les larmes de crocodile étaient de mise pour Mannarino qui a réalisé une belle performance en atteignant ce stade de la compétition pour la première fois à l'US Open. On dit souvent que c'est en voyant ses adversaires abandonner sur blessure qu'on reconnaît les grands champions.
La malédiction des premiers tours
Pendant ce temps, Ugo Blanchet a dû faire ses adieux à l'US Open après une défaite. Rien de bien dramatique, après tout, quelqu'un devait bien perdre ! Dans le monde impitoyable du tennis, il faut savoir encaisser les coups et rebondir, ou simplement encaisser et partir se réfugier chez McDo pour noyer son chagrin dans une montagne de frites. On vous laisse deviner quel choix Blanchet a fait... ## Des commentaires bien sentis
Ah, le tennis, ce sport de rois où il faut être le dernier à se blesser pour gagner, quelle brillante stratégie. Dommage pour celui qui menait et qui aurait probablement gagné le match s'il n'avait pas été victime d'une blessure imaginaire, selon le grand visionnaire qui remporterait un match s'il ne se faisait pas mal en marchant.
Des Français qui font le show
Rien de tel pour pimenter un tournoi que de voir des Français briller, ou du moins tenter de briller. Après Corentin Moutet en 2022, voilà qu'Ugo Blanchet a décidé de faire un bisou à la défaite à l'US Open. C'est beau de voir nos compatriotes représenter la nation avec autant de panache, même s'ils ne passent jamais plus de quelques tours.
Djokovic, le king des grimaces
Novak Djokovic, le roi du tennis et des moues dubitatives, cherche toujours son match référence à l'US Open. Entre ses plaintes sur son dos, ses séances d'auto-massage en plein match et ses expressions faciales d'une grande intensité dramatique, le spectacle est au rendez-vous. Est-ce qu'il va enfin trouver la paix intérieure en affrontant Jan-Lennard Struff ou va-t-il continuer à nous offrir un festival de grimaces et de mouvements capillaires ? Suspense.