## Les Avengers bientôt remplacés par la garde nationale ?

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Quand les Etats-Unis envoient leurs équipes de super-héros en renfort

Dans un élan généreux et désintéressé, les gouverneurs républicains du Mississippi, de l’Ohio, de la Virginie-Occidentale et de la Caroline du Sud ont décidé d'envoyer 900 soldats supplémentaires à Washington pour aider le président Donald Trump à nettoyer la capitale des gangs. Parce qu'on sait tous que les super-héros de Marvel sont débordés en ce moment!

La réponse des Etats à la hauteur des enjeux

Le Mississippi envoie 200 soldats, l’Ohio 150 réservistes, la Caroline du Sud 200 autres et la Virginie-Occidentale 350, prêts à en découdre avec les méchants des rues de Washington. Un vrai scénario de blockbuster en préparation, avec des super-pouvoirs et tout et tout.

La bataille pour restaurer l'ordre et la justice est lancée

Les Etats républicains ont décidé de répondre à l'appel du président Trump en envoyant leurs propres petits soldats en herbe à Washington. Après tout, rien de tel qu'une armée de super-héros en renfort pour laver la ville de ses péchés. La justice est en marche, et c'est avec des bottes de combat et un uniforme militaire qu'elle avance! ## La garde nationale en renfort, la ville de Washington terrifiée

Ah, c'est officiel, Donald Trump envoie ses petits soldats en renfort à Washington ! Avec 800 membres de la garde nationale déjà mobilisés, on atteint le chiffre fantastique de 1 700 militaires déployés. Le tout pour maintenir l'ordre dans une ville en proie à la terreur... ou pas.

La peur règne à Washington, la maire rassure (ou pas)

La maire démocrate de Washington, Muriel Bowser, rassure la population en affirmant que la ville ne risque pas de s'embraser dans une vague de violence. Effectivement, si la violence est si basse qu'elle en est à son plus bas niveau depuis trente ans, on comprend tout de suite l'urgence de déployer l'armée, non ?

Trump, toujours prêt à jouer au petit chef

Ah, Trump aime bien jouer au chef et montrer qui c'est le patron. Après tout, c'est lui qui a le dernier mot, même face à une maire démocrate qui ose lui tenir tête. Avec l'envoi de la garde nationale et des Marines à Los Angeles, on se croirait revenu en 1965. Mais bon, qui a dit que l'Histoire n'était pas un éternel recommencement ?