Affaire Jean Pormanove : Autopsie révèle que la mort du streameur n'était pas un meurtre, mais un coup monté pour le buzz !

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Jean Pormanove : la mort du streameur n'a pas été provoquée par "l'intervention d'un tiers", d'après l'autopsie

Dans un retournement de situation digne d'un scénario digne des plus grands soap operas, le procureur de la République de Nice annonce que la mort du streameur Jean Pormanove ne serait pas liée à l'intervention d'un tiers. Ah non, vraiment ? Quel suspense insoutenable ! Et pourtant, on avait tous déjà sorti nos popcorns pour suivre ce thriller en direct sur Kick.

Des analyses complémentaires sont prévues pour préciser les causes de la mort

Après autopsie, il s'avère que notre streameur tragiquement décédé ne présentait aucune lésion traumatique. C'est ballot, tout ce monde qui attendait de voir surgir un assassin dans l'ombre. Apparemment, la mort aurait plutôt des origines médicales ou toxiques. Comme quoi, the show must go on, même si c'est pour une triste autopsie...

"Narutovie", "Safine" et la petite bouteille d'eau en plastique : un scénario digne des Feux de l'Amour

En attendant les résultats des analyses complémentaires, l'avocat de l'un des acolytes du streameur défunt clame l'innocence de son client. Rien à voir avec cette histoire de bouteille en plastique lancée à la tête de JP juste avant sa mort. Qui aurait cru que cela dégénérerait à ce point ? On se croirait presque dans une série télévisée à intrigue policière ! ## Quand la justice s'en mêle

Ah, ça balance pas mal du côté de Nice ! La police judiciaire a été alertée suite à un article de Mediapart. On parle de violences volontaires en réunion sur personnes vulnérables et de diffusion d'enregistrements compromettants. Narutovie et Safine se sont même retrouvés en garde à vue, quel suspense insoutenable !

Buzz ou pas buzz ?

Les suspects clament haut et fort que tout ça n'était qu'une mise en scène pour "faire le buzz" et empocher du cash. On les imagine déjà en train de répéter leurs prises sous les applaudissements d'un public conquis. JP, quant à lui, enchaîne les séquences où il se fait savater sans protection, frapper par ses potes ou jouer le rôle de punching-ball. Tout ça dans la joie et la bonne humeur, évidemment.

Y a de l'embrouille en ligne

Clara Chappaz, ministre du numérique, dénonce l'horreur absolue de la situation. Elle a même saisi l'Arcom, ce service anti-violence en ligne. Kick, la plateforme où se déroulent ces joyeusetés, promet de collaborer pour faire respecter les règles de sa communauté. On a hâte de savoir comment ça va se terminer, Stay tuned !