Retour triomphal du commentateur de foot Stéphane Guy chez Canal+
Après des années d'absence et une bataille judiciaire digne d'un scénario de série télé, Stéphane Guy fait son grand retour chez Canal+ pour le plus grand bonheur des amateurs de football. On va enfin pouvoir retrouver sa voix enjouée et ses analyses pointues qui font le sel des commentaires sportifs.
La justice remet les pendules à l'heure chez Canal+
C'est tellement rare de voir la justice redonner le sourire à quelqu'un et en l'occurrence, c'est Stéphane Guy qui peut remercier les magistrats pour avoir annulé son licenciement en 2020. Vous imaginez la scène, les avocats qui se battent dans l'arène juridique comme des gladiateurs pour que notre cher commentateur retrouve son micro. Le football aussi a ses héros, comme quoi.
Le grand retour de l'artiste face à Manchester City-Tottenham
Le public peut se frotter les mains, Stéphane Guy sera de retour dès samedi pour commenter le match entre Manchester City et Tottenham. On va enfin pouvoir profiter de ses analyses pointues et de son sens de l'humour légendaire. Attention les oreilles, ça risque de chauffer dans les chaumières ! ## Canal+ condamné à verser plus de 700 000 euros à Stéphane Guy
La chaîne cryptée Canal+ a été condamnée à verser un peu plus de 700 000 euros à Stéphane Guy, histoire de lui rembourser quelques repas au Fouquet's. En effet, le journaliste bien connu s'était fait jeter comme un malpropre après avoir soutenu l'humoriste Sébastien Thoen, une blague qui n'a visiblement pas fait rire tout le monde.
Soutien à un humoriste : un crime chez Canal+
Stéphane Guy, incontournable voix du football français, avait osé afficher son soutien à l'humoriste Sébastien Thoen, ce qui lui avait valu un joli pied au derrière de la part de Canal+. Licencié la veille de Noël 2020, c'était le cadeau empoisonné de Vincent Bolloré, le Père Noël version capitaliste.
La liberté d'expression en danger chez Canal+
Canal+ a vu rouge suite à l'hommage rendu par Stéphane Guy à son "ami" Sébastien Thoen. Mais la Cour d'appel a tranché en faveur du journaliste, pointant du doigt une violation de sa liberté d'expression par son employeur. On peut quand même dire que ça chauffe dans les coulisses de la télé !