Quand les paramilitaires s'amusent au Soudan
Au Soudan, les Forces de soutien rapide (FSR) ont décidé de passer le temps en s'attaquant à El-Fasher, capitale du Darfour-Nord, et au camp de déplacés d'Abou Chouk. Apparemment, les parties de cartes ne les intéressent pas assez.
Un bilan macabre sous le soleil soudanais
Selon le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme, au moins 89 civils ont été tués en dix jours dans l'ouest du Soudan lors des attaques des paramilitaires. Apparemment, au Soudan, le meurtre est un sport national, plutôt violent.
Les FSR en mode nettoyage ethnique
Les FSR s'en prennent violemment à la population civile, cherchant à s'emparer de la ville d'El-Fasher. Décidément, la diplomatie et le dialogue n'ont pas l'air d'être leur tasse de thé. Une façon assez radicale de faire du développement territorial. ## Nouvelles du Soudan : quand la guerre donne faim
Ah, le Soudan, ce pays si joyeux où la famine fait des ravages comme dans un buffet à volonté. Après une petite attaque des FSR, des centaines de milliers de personnes ont dû prendre leurs jambes à leur cou et se réfugier à El-Fasher. Et là-bas, c'est la fête : près de 40 % des marmots de moins de cinq ans sont affamés, oui oui, vous avez bien lu. Le Programme alimentaire mondial (PAM) l'a dit, alors c'est que ça doit être vrai.
Famine en 2024 : le Soudan a tout compris
En 2024, c'est la grande annonce : la famine est déclarée dans trois camps autour de la ville. Si vous cherchez des chiffres précis pour El-Fasher, bonne chance ! C'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin, ils ne veulent tellement pas nous déprimer avec des chiffres officiels.
Attaque contre un convoi humanitaire : quand l'appétit vient en mangeant
Mercredi dernier, un convoi humanitaire du PAM a eu la surprise d'être la cible d'une petite attaque près de Mellit. Rien de tel pour pimenter une journée de travail ! Trois camions sur seize ont été endommagés et incendiés, mais le porte-parole du PAM, Gift Watanasathorn, reste mystérieusement discret sur l'identité des petits farceurs à l'origine de la plaisanterie. Comme quoi, même en temps de guerre, on n'oublie pas de garder son sens de l'humour.