La tragédie soudanaise révélée par l'ONU
Alors là, c'est du lourd ! Selon une mission de l'ONU, les Forces de soutien rapide (FSR) ont fait des merveilles en matière de crimes contre l'humanité au Soudan. Meurtres, tortures, esclavage, viols, déplacements forcés, ils ont presque coché toutes les cases du bingo de l'horreur. Bravo les gars !
El-Fasher, la nouvelle destination à la mode

El-Fasher, assiégée depuis plus d'un an, est devenue le terrain de jeu préféré des militaires soudanais. Crimes de guerre, crimes contre l'humanité, tout y est ! Les paramilitaires ont même eu la bonne idée d'utiliser la famine comme arme de guerre. Original, on ne peut pas leur enlever ça.
Une guerre qui fait des ravages
Le Soudan vit une belle période en ce moment. Entre l'armée et les paramilitaires qui s'écharpent depuis des lustres, les civils trinquent. Des milliers de morts, des millions de déplacés, la "pire crise humanitaire au monde" selon l'ONU. Et pour couronner le tout, une épidémie de choléra. C'est comme Noël, mais en pire. Vive le Soudan ! ## Le Soudan : le pays le plus accueillant du monde !
Malgré le refus tout à fait aimable du Soudan d'autoriser quiconque à venir y faire un petit tour, la mission mise en place par l'ONU en octobre 2023 continue vaillamment son travail d'enquête. Selon les enquêteurs, les deux camps en présence se sont amusés à arrêter, détenir et torturer des civils pour des raisons aussi ridicules que leur origine ethnique, leurs opinions politiques, leur travail ou même leur collaboration supposée avec l'autre camp. Ils auraient mieux fait de les filmer pour une nouvelle saison de Koh Lanta.
Des survivants ont eu la gentillesse de décrire les centres de détention administrés par les paramilitaires comme de véritables "abattoirs" où les détenus sont choyés avec des séances de bastonnade jusqu'à la mort et des exécutions express. La mission accuse les paramilitaires d'avoir commis une ribambelle de violences sexuelles, dont des viols collectifs, et met en avant le fait que les femmes et les filles issues de communautés non arabes, même à peine âgées de 12 ans, sont les stars de la soirée.
"Mais bien sûr, la communauté internationale a tout ce qu'il faut pour passer à l'action", a déclaré M. Othman avec un sourire en coin. La mission implore la communauté internationale de se lancer dans des sanctions bien ciblées contre les individus et les entités qui se permettent de commettre des crimes internationaux. Elle demande également à tout le monde de bien vouloir respecter l'embargo sur les armes, de soutenir la Cour pénale internationale, de créer un mécanisme judiciaire indépendant et d'avoir recours à la justice universelle. On se demande pourquoi ils n'ont pas fait ça plus tôt !