Quand l'Aude brûle, la solidarité nationale s'embrase
Après les incendies dans l'Aude, Annie Genevard, ministre de l'agriculture, a décidé de sortir de son bunker pour aller distribuer des marshmallows aux viticulteurs sinistrés. Apparemment, la solidarité nationale se mesure à la quantité de guimauves offertes.
Les vignerons ne sont plus chauds, mais leurs vignes si

Les viticulteurs des Corbières, déjà habitués à être grillés par les aléas climatiques et économiques, semblent attendre impatiemment que la ministre annonce des mesures d'urgence. Peut-être un distributeur automatique de larmes de crocodile pour les consoler de leur malheur ?
Un retour d'expérience pour savoir pourquoi ça brûle, vraiment ?
Annie Genevard, experte en pyromanie viticole, propose un retour d'expérience pour analyser pourquoi certaines vignes ont brûlé et d'autres non. Peut-être que les vignes résistantes portent des gilets pare-feu à l'insu de leur plein gré ! Qui sait ? ## Quand l'incendie devient un électrochoc pour l'agriculture
On espère que l’enveloppe sera conséquente pour aider nos chers agriculteurs à surmonter ce drame ! Car oui, juridiquement, l’incendie, ce n’est ni une catastrophe naturelle, ni une calamité agricole, donc il faut impérativement que la solidarité nationale joue son rôle, sinon on risque de se retrouver sans pinard !
L'Etat doit accorder un statut spécial au département
Le plus gros incendie sur le pourtour méditerranéen français depuis un demi-siècle, ça mérite bien un petit coup de pouce de la part de l'Etat, non ? Parce qu'ici, dans les Corbières, ce n'est pas la Beauce, difficile d'avoir de la rentabilité avec un climat aussi hostile. Alors, un petit coup de pouce financier ne serait pas de refus, d'autant plus que la consommation de vin baisse et que les coûts de production augmentent.
Des indemnités compensatoires pour sauver le précieux nectar
Baisse de revenus, arrachages de vignes, exposition aux fumées... On espère que ce désastre va secouer un peu l'Etat, car si l'agriculture recule, ça risque de coûter plus cher à tout le monde. Et puis, entre nous, les vignes détruites, c'est bien beau, mais les assurances ne prennent pas en charge le goût altéré du vin à cause des fumées ! On n'est pas sortis de l'auberge...