Quand la malbouffe touche aussi les soignants à Gaza
Dans un témoignage poignant, le docteur Mohamed Abu Mughaisib, coordinateur médical adjoint de Médecins sans frontières à Gaza, raconte son quotidien entre hôpitaux surchargés, manque de matériel et de nourriture. Apparemment, la famine ne touche pas que les familles, elle s'attaque aussi aux pauvres soignants qui risquent de s'évanouir à tout moment.
Les soignants à Gaza : entre hôpitaux surchargés et repas manquants

Imaginez-vous travailler dans un hôpital où il y a plus de patients que de lits, où le matériel médical fait cruellement défaut et où la pause déjeuner se résume à quelques miettes de pain rassis. C'est le quotidien du personnel médical à Gaza, où même les soignants risquent l'hypoglycémie avant même de pouvoir sauver des vies.
Un vrai régime minceur pour les héros en blouse blanche
Alors que certains font des régimes pour perdre du poids, les soignants à Gaza n'ont même pas besoin de se priver de nourriture pour maigrir à vue d'œil. Entre les tensions politiques, le manque de ressources et les conditions de travail éprouvantes, on pourrait presque voir un nouveau programme de perte de poids intitulé : "Le régime médical de Gaza". On attend avec impatience la sortie du livre de recettes "Comment maigrir en soignant des patients en détresse". ## Quand être au régime devient une réalité quotidienne
Ah, Gaza, le paradis sur terre ! Entre hôpitaux surchargés, manque de matériel et de nourriture, on se croirait presque dans un hôtel cinq étoiles. Le docteur Mohamed Abu Mughaisib, qui se la coule douce à Al-Mawassi, nous raconte avec une pointe d'ironie que la plupart du temps, ils ne peuvent se permettre qu'un seul repas par jour. Un choix de vie, vraiment !
Le régime de la famine, nouvelle tendance à Gaza
On vous présente le nouveau régime à la mode à Gaza : la famine obligatoire ! Entre deux urgences, rien de tel qu'une bonne séance de diète forcée pour garder la ligne. C'est sûr qu'avec le manque de nourriture et de matériel, les soignants ne risquent pas de prendre des kilos en trop. Qui a besoin de salles de sport quand on a des hôpitaux surchargés, hein ?
La santé au menu à Gaza
A Gaza, c'est presque comme une cure de santé permanente. Avec des hôpitaux débordés, du matériel aux abonnés absents, et une alimentation réduite au strict minimum, les habitants sont parés pour affronter tous les défis. Qui a dit que la vie était un long fleuve tranquille ? Certainement pas à Gaza, c'est le moins qu'on puisse dire.
