Sébastien Lecornu renonce à la suppression de jours fériés et annonce des ruptures : les détails de son premier discours

Date de publication

Media file: 01K52/0CX9G/FFNEP/AATWJ/NBMB0/E/01K520CX9GFFNEPAATWJNBMB0E.png

Sébastien Lecornu renonce à la suppression de jours fériés

Tout juste nommé premier ministre, Sébastien Lecornu annonce qu'il abandonne l'idée de supprimer deux jours fériés, mesure défendue par son prédécesseur François Bayrou. Dans une interview à la presse régionale, il explique vouloir épargner ceux qui travaillent en retirant cette proposition impopulaire du projet de budget 2026.

Pas de nouveau conclave sur les retraites

En plus de cette décision sur les jours fériés, Sébastien Lecornu écarte également l'idée d'organiser un nouveau conclave sur les retraites. Il mise plutôt sur le dialogue avec les partenaires sociaux pour trouver d'autres sources de financement.

Les ruptures annoncées par le nouveau premier ministre

Lors de sa prise de fonction, le nouveau premier ministre avait promis des "ruptures sur le fond". Il semble tenir cette promesse en prenant des décisions rapidement après sa nomination. ## Sébastien Lecornu rejette l'idée d'un nouveau conclave sur les retraites

Le gouvernement exclut toute possibilité de relancer un nouveau conclave sur les retraites, affirmant qu'il n'en a jamais été question.

Discussion parlementaire avec la gauche républicaine et mise de côté de La France insoumise

Sébastien Lecornu prévoit une discussion parlementaire de haut niveau avec les socialistes, les écologistes et le Parti communiste pour résoudre l'impasse budgétaire. Il souligne la nécessité pour la gauche républicaine de s'affranchir de La France insoumise, jugée exclue de la discussion et préférant semer le désordre.

Consultations pour un grand acte de décentralisation

Le premier ministre annonce l'ouverture de consultations dès la semaine prochaine en vue d'un grand acte de décentralisation, de clarification et de liberté locale. Il souligne l'importance de définir les attentes vis-à-vis de l'État, notamment en ces temps où les demandes sont de plus en plus pressantes, notamment en matière régalienne.