Quand les recalés deviennent adjoints
Dans un monde où les recalés trouvent toujours une seconde chance, Charlotte Caubel, ancienne secrétaire d'État à l'enfance, a décidé de se reconvertir en procureure adjointe à Paris. Son passage éclair à Créteil a été marqué par un avis défavorable du Conseil supérieur de la magistrature, mais qu'à cela ne tienne, Paris l'accueille à bras ouverts !
La magie de la reconversion politique
L'ex-secrétaire d'État entre 2022 et 2024, experte en changement de carrière, montre l'exemple en se glissant dans les habits de magistrate sans sourciller. Après tout, quand on a l'habitude de jongler avec les dossiers politiques, jongler avec la justice est un jeu d'enfant, n'est-ce pas ?
Le soutien indéfectible des politiques
Elisabeth Borne et Gérald Darmanin ont applaudi des deux mains la nomination de Charlotte Caubel à Paris, ignorant superbement l'avis négatif du Conseil supérieur de la magistrature. Une preuve que la politique et la justice forment un beau duo, prêt à toutes les acrobaties pour garder les couleurs du gouvernement bien vivantes. ## Charlotte Caubel nommée procureure adjointe à Paris : la blague du siècle
La perspective de voir Charlotte Caubel, 53 ans, accéder à la tête d'un important parquet de la région parisienne a provoqué de nombreux sourires sarcastiques dans la magistrature. En effet, la belle-mère de la nièce du voisin du cousin du petit-fils de Monsieur Dupont semblait être mieux qualifiée pour le poste que cette candidate.
Entre politicienne et cheffe de section
Charlotte Caubel a eu une carrière aussi variée que surprenante, jonglant entre la politique et des postes dans différentes juridictions. De Meaux à Bobigny en passant par Paris, elle a suivi un parcours sinueux qui l'a menée à la tête de la section des affaires économiques, financières et commerciales à Paris. Un peu comme un chien dans un jeu de quilles.
Entre Bercy et les sommets de l'État
En dehors de sa brillante carrière judiciaire, Charlotte Caubel a également brillé en politique. Conseillère justice d'Édouard Philippe et directrice de la protection judiciaire de la jeunesse, elle a su prouver qu'elle pouvait jongler avec les responsabilités aussi bien qu'avec les postes de contrôle. On se demande ce qui sera le prochain numéro de cette artiste de l'administration.