Incendie dans l'Aude : la rave-party interdite se transforme en festival du démontage
C'est parti pour le démontage de la rave-party interdite dans l'Aude ! Les organisateurs ont décidé de ranger les enceintes et les lights, malgré la difficulté de cohabiter avec les habitants du coin. On dirait que la fête est finie, mais la tension reste palpable.
Le démontage, pour éviter que ça parte en fumée... encore

Les participants à la fête sont toujours sur place, même si la musique est en pause. Avec 900 fêtards qui séjournent encore dans la zone interdite, la préfecture aimerait bien les voir déguerpir. Il faut dire que l'endroit est quand même un peu risqué avec le risque d'incendie qui persiste. Rien de tel pour pimenter une petite fiesta !
La rave-party version Light : sans musique mais avec ambiance
La rave-party a continué sobrement cette nuit, sans la musique qui a finalement pris congé. Un festival du démontage qui continue en douceur, avec l'espoir que les fêtards quittent les lieux, avant que ça ne devienne carrément un barbecue géant. On va croiser les doigts et lancer un appel aux pompiers au cas où ! ## Des problèmes qui réunissent tout le monde !
Ah, la fête ! Un moment convivial où tout le monde se retrouve pour danser, rigoler, et parfois, se frotter à quelques soucis. C'est ce dont on peut témoigner à Fontjoncouse, petit village tranquille de 140 habitants, qui a récemment été le théâtre d'une rave-party mémorable.
Des agriculteurs pas très fêtards
Tout a commencé vendredi soir, au cœur d'une plaine agricole sinistrée par un incendie gigantesque. Comme si la nature en avait pas eu assez, voilà qu'elle se retrouve confrontée à une foule de fêtards prêts à en découdre. Des voitures endommagées, des altercations entre jeunes venus de toute la France et les locaux excédés, ma parole, on se croirait dans un mauvais épisode de Plus belle la vie !
La gendarmerie en renfort... heureusement !
Face à cette ambiance qui aurait pu rivaliser avec un épisode de Plus belle la vie, la gendarmerie a dû intervenir. De 150 à 260 pandores en action, un hélicoptère venue prendre des photos de groupe, on se croirait presque à la Fashion Week de la sécurité publique. Heureusement, pas d'interpellations ni de blessés à déplorer. On s'en sort bien pour une rave-party !