La fête qui n'en finit pas malgré la présence policière !
On aurait pu croire que la rave interdite dans l’Aude allait prendre fin avec le déploiement de 150 gendarmes, mais que nenni ! Les fêtards sont toujours motivés à rejoindre le terrain malgré les tentatives désespérées des forces de l'ordre pour les en empêcher.
Un incendie ? Quel incendie ?

Il semblerait que même un gigantesque incendie au début du mois d'août dans la région n'ait pas suffi à refroidir les ardeurs des fêtards. Avec 2 500 personnes toujours prêtes à en découdre, les autorités ont bien du fil à retordre.
Quand la fête se transforme en garde à vue
Et pour couronner le tout, plusieurs joyeux lurons ont même eu la chance de bénéficier d'une petite garde à vue pour pimenter un peu plus l'ambiance de cette rave party survoltée. Reste à savoir si l'envie de danser survolera celle de passer la nuit au poste... ## Les autorités menacent de verbaliser les fêtards imprudents
Attention, mise en garde sérieuse : les autorités sont prêtes à distribuer des amendes pour ceux qui osent se rendre dans une zone sinistrée par un incendie. Oui, oui, on parle bien de verbaliser les fêtards qui s'aventureraient à célébrer leur petite sauterie dans un coin ravagé par les flammes. N'est-ce pas rafraîchissant de voir que la sécurité publique est une priorité absolue ?
Routes coupées, une fête qui brûle les esprits
Pour compliquer un peu plus la tâche des fêtards téméraires, les autorités ont décidé de couper plusieurs routes départementales dans les environs. Ah, quel dommage, il va falloir trouver un autre endroit pour faire la bringue et s'amuser un peu. Il faut dire qu'organiser une fête dans une zone sinistrée par un incendie de 16 000 hectares, ça ne passe pas inaperçu. Les habitants sont tout feu tout flamme !
Un incendie qui fait des ravages, mais une fête qui fait scandale
C'est vrai que le feu du 5 août qui a détruit 36 habitations et coûté la vie à une personne, c'était un vrai moment de convivialité et de franche rigolade. Mais bon, on ne va pas chipoter pour si peu. C'est juste le pire incendie depuis cinquante ans dans la région, mais ce n'est pas une raison pour ne pas s'amuser, non ? Tant pis pour ceux qui ont tout perdu, il faut bien que la fête continue, non ?