Raphaël Enthoven relaxé du délit d'injure
Le philosophe Raphaël Enthoven a été relaxé par le tribunal correctionnel de Paris des accusations d’injure publique portées par La France insoumise (LFI).

Les magistrats ont estimé que ses propos n'ont pas dépassé les limites autorisées de la liberté d'expression. En réaction à l'exfiltration de Raphaël Glucksmann lors d'une manifestation à Saint-Étienne, M. Enthoven avait qualifié LFI de mouvement détestable, violent, complotiste et passionnément antisémite. ## Jugement de relaxe pour LFI dans une affaire de propos polémiques
Le tribunal a prononcé une relaxe pour La France insoumise dans une affaire de propos polémiques. L'action, revendiquée par les Jeunes communistes de la Loire, n'a pas été attribuée à LFI. Un militant LFI a cependant confirmé sa participation à titre individuel.
Débat autour de l'accusation d'antisémitisme
Les magistrats ont souligné que le débat sur l'affaire s'inscrivait dans un contexte d'accusations d'antisémitisme envers La France insoumise. Des propos jugés violents, outranciers, complotistes et/ou antisémites de membres de LFI ont été pointés du doigt. Certains considèrent le parti comme antisémite, mais cette opinion n'est pas considérée comme un délit.
Raphaël Glucksmann a dénoncé un climat de haine et de violence sur fond d'antisémitisme, mettant en lumière des responsabilités à attribuer. Raphaël Enthoven a réagi en qualifiant La France insoumise comme le premier parti antisémite de France, soulignant que cette opinion fait partie du débat actuel.
