Gérard Miller en garde à vue pour des soupçons de violences sexuelles
Le psychanalyste Gérard Miller a été placé en garde à vue pour des accusations de viols et d'agressions sexuelles formulées par plusieurs femmes, y compris des mineures. Ces actes auraient eu lieu lors de séances d'hypnose qui se déroulaient soit dans son cabinet, soit à son domicile.
Un chroniqueur médiatique conteste les accusations
Le psychanalyste conteste fermement les accusations portées contre lui. Il est actuellement entendu par la brigade de protection des mineurs. Gérard Miller, connu pour ses interventions dans différents médias et son engagement politique à gauche, est mis en cause par près d'une centaine de femmes pour des comportements inappropriés et des violences sexuelles.
Premières accusations révélées par le magazine Elle
Les premières accusations ont été dévoilées par le magazine Elle, notamment celle d'une femme affirmant avoir été victime de viol lors d'une séance d'hypnose en 2004, alors qu'elle était âgée de 19 ans après avoir assisté à une émission à laquelle le psychanalyste participait. ## Des témoignages troublants
Le mois de janvier 2024 a été marqué par la publication de témoignages troublants. Une femme a déclaré : « Je ne peux plus bouger. Je suis une poupée qu’on déshabille et à qui l’on peut faire ce que l’on veut ».
Des dénégations catégoriques
Suite à ces accusations, M Miller a réagi en publiant une lettre sur le réseau social X. Il a affirmé : « Avec toutes les femmes, j’ai la conviction de n’avoir contraint personne, prenant au pied de la lettre tout embarras, tout refus ». Il a également nié avoir pratiqué l'hypnose dans un cadre privé, assurant que les séances relevaient de simples "tests élémentaires".