Des conditions de détention "indignes" à l'EPM de Marseille
Ah, les prisons pour mineurs, ces endroits chaleureux où l'on se sent tellement bien en famille. Mais à Marseille, apparemment, c'est une toute autre histoire.
Des mesures urgentes à prendre... ou à ne pas prendre, c'est selon

La contrôleuse générale des lieux de privation de liberté vient de faire une découverte inouïe à l'EPM de Marseille : les conditions de détention sont tout simplement "indignes". Ah bon, vraiment ? On n'aurait jamais deviné en voyant les murs couverts de graffitis douteux et les matelas en mousse sans draps.
Des travaux prévus pour 2024... ou peut-être 2025, ou pas
Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, nous rassure en nous annonçant des travaux prévus entre 2024 et 2025 pour rénover ces charmantes cellules. Mais attention, les dégradations sont sûrement toutes causées par les adorables petits chérubins qui y résident. En attendant la rénovation, une à deux unités de la prison seront fermées en septembre. Quelle initiative ! ## Révolte à l'École de Nîmes !
On pensait que les adolescents en détention bénéficiaient de tous les avantages comme la livraison de produits d'hygiène à domicile et des appels illimités avec leurs copains. Eh bien non, à Nîmes, c'est carrément la misère ! Les rideaux sont interdits aux fenêtres, donc adieu l'intimité, et les seuls chanceux à pouvoir ventilateur gratuits sont ceux reconnus sans ressources.
Faim, isolement et oubli
Les repas distribués sont tellement rachitiques que les jeunes avouent avoir toujours la dalle. On se demande s'ils mangent vraiment à leur faim. Mais le pire, c'est cette pratique dégradante de l'isolement en grille. Enfermés sans chaise, sans eau potable ni toilettes, les ados peuvent rester bloqués de 30 minutes à 5 heures. Ils vont finir par demander un Uber Eats, c'est sûr !
On oublie pas les cours au passage
Et comme si c'était pas assez, les profs et les surveillants se font la malle. On se retrouve avec des gamins enfermés 23h sur 24 sans personne pour les éduquer. C'est beau la vie en EPM, on se croirait presque en vacances. Sauf que là, c'est pas des clubs de plage, c'est des centres de détention pour mineurs. Bonjour l'éducation !