Incroyable nouvelle : des pompiers arrêtés pour avoir... combattu un incendie !
Des policiers aux frontières américaines ont eu une brillante idée : arrêter deux pompiers en situation irrégulière pendant qu'ils luttaient contre un incendie dévastateur dans l'Etat de Washington. Bravo, vraiment, on sent la réflexion derrière cette décision.
La justice américaine, toujours aussi subtile dans ses choix
Après avoir vérifié l'identité de quarante-quatre pompiers, parce que lutter contre un incendie c'est bien, mais respecter les lois c'est mieux, les forces de l'ordre ont choisi de s'attaquer à deux hommes pourtant engagés pour aider à combattre le Bear Gulch Fire. Ah, cette finesse d'analyse qui caractérise si bien nos amis américains.
Pompiers en situation irrégulière, la nouvelle menace pour l'Amérique
Tout cela parce que les contrats passés entre le gouvernement et les entreprises qui employaient ces valeureux pompiers ont été résiliés après une enquête criminelle, sans plus de détails. Mais bon, au moins on peut dormir sur nos deux oreilles, la vraie menace pour l'Amérique, ce sont bien les pompiers en situation irrégulière. ## Des pompiers escortés, mais pas par des stars
Les quarante-deux autres travailleurs ont été escortés en dehors de la zone, sans claquettes ni tapis rouge. Un pompier, qui ne veut pas qu'on brûle son anonymat, s'est indigné en déclarant « On a risqué notre vie ici pour sauver la population et voilà comment ils nous traitent ! »
Une operation qui n'a pas fait flamber les critiques
L’opération « n’a pas entravé les opérations de lutte contre les feux ni la réponse aux incendies actifs dans la région », a assuré, de son côté, l’Agence de protection des frontières. Rassurant, n'est-ce pas ?
Une offensive anti-immigration qui fait des flammèches
L’intervention a été âprement critiquée par les démocrates de la région, jeudi, qui y voient une preuve des excès de l’offensive anti-immigration menée par Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche. Bob Ferguson, le gouverneur démocrate de l’Etat de Washington, s’est dit « profondément préoccupé » sur X, et a demandé à ses services « de recueillir davantage d’informations sur ce qui s’est passé ». Ah, les joies de la politique...