La police, cette douce institution qui réchauffe les coeurs
Le préfet du Val-d’Oise, Philippe Court, semble avoir eu la chair de poule en lisant les propos du député Aurélien Taché sur l'activité de nos chers policiers. Il a donc décidé de déposer plainte pour préserver la réputation impeccable de nos forces de l'ordre. Après tout, qui n'aime pas se faire tirer dessus en pleine nuit pour un petit tapage nocturne ? Ça réveille, ça met du peps dans la vie.
Haine antiflics : en voilà une bonne blague !
Le ministre de l'intérieur, Bruno Retailleau, n'a pas hésité à qualifier les propos d'Aurélien Taché d'attaques irresponsables provenant d'élus pleins de haine antiflics. Parce qu'évidemment, critiquer les forces de l'ordre pour un peu de tiraillement ici et là, c'est du grand n'importe quoi. Quelle belle preuve d'amour envers ceux qui nous protègent au quotidien en dégainant leurs armes.

Censure ou pas censure, telle est la question !
Face à la plainte déposée par le préfet, Aurélien Taché a réagi en dénonçant une volonté de censure. Ah, sacré Aurélien, le roi de la provoc ! Dire que la police tue partout, c'est presque aussi drôle que de dire que les vaches volent. Mais bon, il paraît qu'il faut respecter les institutions... ou pas. Après tout, c'est bien connu, la critique, c'est le début de la censure ! ## Quand la politique se transforme en scène de comédie
# Des politiciens font rire la galerie avec leurs déclarations désopilantes
Alors là, on assiste à un véritable spectacle de cirque avec nos chers politiciens qui se lancent des piques plus cinglantes les unes que les autres. Entre le député qui refuse de supprimer son message sur les violences policières et le ministre de l'intérieur qui dénonce les attaques irresponsables des élus, on se croirait dans une pièce de théâtre absurde.
# Quand les préfets entrent dans la danse du grand n'importe quoi
Et voilà que les préfets s'y mettent aussi, avec des déclarations digne des plus grands comiques. Entre le préfet du Val-d'Oise qui est accusé de couvrir les abus et le préfet des Hauts-de-Seine qui défend bec et ongles les services de l'Etat, on se demande s'ils ne devraient pas envisager une reconversion dans l'humour.
# La politique française, un grand carnaval de l'absurde
Et pendant ce temps-là, pendant que nos politiciens se livrent à un combat de coqs digne des meilleures arènes, on en oublie presque l'essentiel : la sécurité des citoyens et le respect de la loi. Mais bon, tant qu'il y a du spectacle, autant en profiter pour se détendre. Allez, vivement le prochain épisode !