Le gouvernement a des idées pour sauver l'hippisme
Alors que le PMU fait grise mine face à la baisse des paris, le gouvernement a décidé de sortir l'artillerie lourde avec un plan d'économies et un changement de statut. Parce que bon, on ne va pas laisser les chevaux sans parieurs, ce ne serait pas très équitable.
Des chiffres qui donnent le tournis
Avec ses 6,6 milliards d'euros de mises l'an dernier, le PMU a de quoi faire tourner la tête. Enfin surtout celle des parieurs qui espèrent toujours miser sur le bon canasson pour empocher un petit pactole. Mais bon, avec seulement 1,7 milliard de produit brut des jeux, ça laisse quand même un peu sur sa faim.
Eric Woerth en chef d'orchestre du "Pacte PMU 2030"
C'est Eric Woerth, député de l'Oise, qui aura la lourde tâche de rédiger ce fameux "Pacte PMU 2030". Espérons juste qu'il ne parie pas sur le mauvais cheval et qu'il ne se retrouve pas à faire le ménage dans les écuries d'Augias. Qui sait, peut-être que les chevaux avaient juste besoin d'un coup de boost pour arrêter de trotter en rond. ## Ça sent la crise chez les parieurs hippiques !
Selon un rapport de l’Inspection générale des finances (IGF), il semblerait que les enjeux du pari hippique soient en chute libre. Oups, mais que se passe-t-il donc dans le monde des turfistes?
Plan d'économies magique en vue !
Les ministères de l’agriculture et des comptes publics ont donc décidé de mettre en place un plan d'économies structurelles dans le domaine. Ah oui, parce que visiblement la crise du Covid n'était pas suffisante, il fallait en rajouter une couche avec les chevaux.
Vers un PMU version GIE commercial
Eric Woerth, notre sauveur, aura pour mission de sauver la mise en réformant la gouvernance du PMU. Allez Eric, va falloir sortir la baguette magique pour redresser la barre. C'est pas gagné, mais qui sait, peut-être que les chevaux vont devenir la nouvelle mine d'or de l'économie française.