Un jeune homme meurt d'un pneumothorax : quand la cure miracle s'appelle antidouleur !

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La famille porte plainte après l'échec du règlement amiable avec le centre hospitalier

Ah, encore une joyeuse histoire de santé publique qui tourne mal ! Un jeune homme de 24 ans meurt d'un pneumothorax malgré plusieurs appels au SAMU. Eh oui, quand tu as mal en France, mieux vaut prévoir tout un spectacle pour être pris au sérieux.

Des poursuites pour "homicide involontaire, mise en danger délibérée et non-assistance à personne en péril"

La famille, visiblement pas satisfaite des réponses rassurantes du médecin régulateur, a décidé de porter plainte. Apparemment, prendre un antidouleur pour un pneumothorax, c'est la nouvelle norme ! Peut-être qu'on devrait distribuer des aspirines en cas d'amputation, un bon moyen de rassurer tout le monde.

Symptômes ignorés, conseils douteux : la routine du système de santé français

Encore une fois, on nous délivre une belle leçon sur la confiance aveugle à accorder au système de santé français. Un jeune homme se plaint de ne pas remplir ses poumons à fond, et on lui conseille de prendre un antidouleur. Drôle de diagnostic, on se croirait presque dans une émission de caméra cachée médicale. Et comme d'habitude, c'est la famille qui doit se battre pour obtenir ne serait-ce qu'un semblant de justice. En tout cas, si tu veux être en vie, mieux vaut prévoir une ambulance privée avec un médecin attitré dès que tu ressens un pet de travers, on ne sait jamais ! ## Quand le SAMU confond malaise et petit coup de mou

Alors là, on a affaire à du grand art ! Un jeune homme se retrouve avec une quinzaine d'épisodes de vomissements, se fatigue à en faire un malaise et à tomber par terre dès que sa mère tente de le relever. Mais qu'à cela ne tienne, le SAMU pense toujours qu'il s'agit d'un simple problème "musculaire". Ah, le fameux muscle du vomissement, on connaît bien !

Quand une voiture devient un lit d'hôpital improvisé

Tel un véritable film d'action, notre héros affaibli fera son dernier trajet jusqu'aux urgences de Mamers. Mais comme dans toute bonne comédie, il s'effondrera au niveau de sa voiture, victime d'un arrêt cardio-respiratoire. Heureusement pour lui, les soins prodigués par les secours ne le remettront malheureusement pas d'aplomb. On aurait aimé une fin plus joyeuse, mais bon, la vie c'est pas Disney.

L'hôpital du Mans, spécialiste des diagnostics post-mortem

Selon deux experts bien inspirés, notre cher Estéban est décédé des suites d'un pneumothorax non diagnostiqué. Ah, ce fameux pneumothorax qui se cachait si bien derrière sa physionomie longiligne ! Les experts estiment que s'il avait été pris en charge correctement, il aurait eu 100% de chances de survie. Mais bon, on ne va pas chipoter, mieux vaut tard que jamais. La famille a bien entendu décidé de déposer plainte après avoir vainement tenté de régler ça à l'amiable. Et l'hôpital du Mans dans tout ça ? "Nos pensées vont à la famille et aux proches du défunt, confrontés à ce décès tragique", répond sobrement l'hôpital. Ah, les bonnes résolutions, ça fait toujours plaisir à entendre !