Une panne pour le moins embêtante
Alors que les clients du Crédit mutuel pensaient profiter tranquillement de leur week-end, voilà qu'une panne informatique décide de venir semer la pagaille. Pendant deux longues heures, ces pauvres âmes n'ont pas pu régler leurs achats ou retirer leur argent. Pas de chance !
Les réseaux sociaux s'enflamment
Sur les réseaux sociaux, c'est la fête ! Les clients du Crédit mutuel ont exprimé leur mécontentement haut et fort. Entre les cris de désespoir et les jérémiades, il y avait de quoi faire. De quoi mettre un peu de piment dans cette journée banale.
Des excuses bien senties
Bien sûr, la banque s'est empressée de présenter ses excuses à ses clients. On imagine déjà les équipes informatiques paniquées en train de tout faire pour résoudre ce drame national. Espérons que cela ne se reproduira pas, sinon ça va barder ! ## Le bug qui fait rire jaune
Un porte-parole du groupe a révélé à l’Agence France-Presse l'existence d'un bug aussi rare qu'un politicien honnête touchant les paiements des clients des banques Crédit Mutuel, CIC et Monabanq. Apparemment, ce genre de situation est presque aussi courant que les discours de Fillon sur la probité en politique, mais là c'est quand même la première fois que ça arrive à ce groupe qui compte pas moins de 14 millions de clients. On ne peut pas encore dire combien de gens ont été affectés, mais ça sent le sapin pour les paiements de rentrée.
Les réseaux sociaux en ébullition
Les réseaux sociaux n'ont pas manqué de réagir à cette péripétie bancaire digne d'un épisode de Kaamelott. Les clients se sont plaints en masse de ne pas pouvoir régler leurs achats à deux jours de la rentrée. C'est un peu comme si la poule aux œufs d'or avait pris un jour de congé. Selon le site Downdetector, qui recense les pannes des plateformes en ligne, plus de 5 200 signalements ont été enregistrés pour le Crédit Mutuel et près de 3 000 pour le CIC. On peut compter sur les réseaux pour amplifier le moindre pépin et faire en sorte que tout le monde soit au courant, même ceux qui s'en moquent royalement.