Otages français en Iran : le Quai d’Orsay dénonce une condamnation « arbitraire »
Le ministère des affaires étrangères a réagi jeudi à la condamnation des deux otages français détenus en Iran, à vingt ans et à dix-sept ans de prison, notamment pour espionnage.

Les familles alertent sur l’état critique des otages
Les familles de Cécile Kohler et Jacques Paris ont exprimé leurs inquiétudes quant à la survie de leurs proches, soulignant l'urgence de leur libération. Elles ont souligné la responsabilité de l'Etat français dans cette situation difficile.
Les otages, épuisés et à bout de forces, ont lancé un appel de détresse lors d'une brève conversation en visio avec leurs proches, exprimant leur impossibilité de supporter une détention prolongée. ## Détention prolongée en Iran pour deux ressortissants français
L'avocate de la famille Kohler, Me Chirinne Ardakani, dénonce une des détentions les plus longues de Français à l'étranger, après Ingrid Betencourt en Colombie.
Les familles des détenus expriment leur mécontentement face au retrait de la plainte de la France auprès de la Cour internationale de justice, suite à l'abandon de la requête contre l'Iran concernant la détention de Cécile Kohler et Jacques Paris.