Le fiasco de l'opération secrète en Corée du Nord approuvée par Donald Trump
Ah, l'intrigue digne d'un film hollywoodien ! Des militaires américains, supposés espionner Kim Jong-un en 2019, abandonnent leur mission après avoir éliminé au moins deux Nord-Coréens désarmés. Un scénario aussi surréaliste que les excuses de Donald Trump.
"Je ne sais rien à ce sujet", déclare tranquillement le président américain

Trump, toujours fidèle à lui-même, a réagi avec son habituelle finesse en répliquant "Je ne sais rien à ce sujet. C’est la première fois que j’en entends parler". Ah, l'éternel sens de l'ignorance sélective.
Une opération approuvée plusieurs fois par Trump, vraiment ?
Le New York Times révèle que cette mission loufoque a été approuvée par le président Donald Trump lui-même, sans qu'il ne se souvienne bien sûr de quoi que ce soit, dans la foulée de ses négociations infructueuses avec Kim Jong-un sur le nucléaire. Cherchez l'erreur ! ## Des pêcheurs confondus avec des terroristes
On commence fort avec cette histoire rocambolesque où des membres des forces spéciales des Etats-Unis tirent sur un bateau de pêcheurs croyant avoir repéré des terroristes. Imaginez la scène, la petite embarcation se balade tranquillement et là, paf, les lampes torches des forces spéciales pointées sur eux. Pas de chance pour ces pauvres pêcheurs qui se prennent des balles perdues.
Des justifications dignes d'un mauvais film
Après avoir envoyé l'équipage du bateau par le fond en perforant leurs poumons (oui, rien que ça), les forces spéciales se disent "bon, on jette les corps à la mer et on se casse, personne nous a vus, ça passera crème". Ah, la discrétion américaine dans toute sa splendeur. Et bien évidemment, quand on leur demande des comptes, ils sortent l'excuse toute faite des "événements malheureux imprévisibles". Classique.
La Corée du Nord aussi dans la danse
Et pour finir en beauté, on apprend que ce n'est pas la première fois que les Etats-Unis se lancent dans des opérations secrètes qui finissent en eau de boudin. On se rappelle tous de l'épisode en Corée du Nord en 2005 où là aussi, pas de bol, l'opération était tellement secrète qu'on ne l'a su que bien des années après. Bravo l'Amérique, quel sens du timing !