Nouveau rebondissement pour Novasco : le redressement judiciaire !
Incroyable mais vrai, Novasco, le sidérurgiste qui emploie 760 salariés dans plusieurs régions de France, a été placé en redressement judiciaire par le tribunal de Strasbourg. Et devinez quoi ? La date limite pour les projets de reprise a été fixée à fin septembre. Autant dire que c'est la fête du slip pour les actionnaires !
Greybull Capital : des promesses non tenues

Rappelez-vous, il y a un an, Novasco avait été racheté par Greybull Capital, un fonds d'investissement britannique. Au programme : des millions d'euros promis mais jamais arrivés. L'Etat avait sorti le chéquier, mais le fonds britannique, lui, a oublié sa contribution. Comme quoi, la solidarité européenne, c'est pas pour tout le monde !
La CGT dans les starting-blocks
Et pendant ce temps, la CGT observe la situation avec attention. Les salariés attendent toujours les fameux millions d'euros qui se cachent quelque part. Allez, les gars, c'est pas le moment de flancher, il paraît qu'il y a une petite enveloppe qui va arriver en août. On croise les doigts, et surtout on garde le sens de l'humour ! ## Série noire pour Novasco
C'est l'histoire d'une entreprise qui navigue à vue en pleine tempête financière. Selon le directeur, le calendrier est tellement contraint par la trésorerie que même les calendriers de l’Avent ont plus de marge. On se croirait dans une version dramatique de Koh-Lanta, mais sans les épreuves de confort.
Un redressement judiciaire pour prendre son temps
Novasco a été placé en redressement judiciaire pour avoir un peu d'air, le genre d'air qu'on respire avant d'être pendu. Une période d’observation qui permettra peut-être de trouver une solution ou de négocier des mesures acceptables. Autant dire que les employés doivent déjà prendre des cours de yoga pour rester zen en attendant le verdict.
Des candidats intéressés, mais pas pour Hagondange
Apparemment, plusieurs candidats seraient intéressés par Novasco, mais bizarrement aucun d'entre eux ne semble s'emballer pour le site de Hagondange. Peut-être que le charme de la Moselle agit comme un repoussoir. En tout cas, l'entreprise a intérêt à vendre ses sites comme des biens immobiliers à rénover si elle veut s'en sortir.