Accord historique entre le Népal et la génération Z
Le Népal a récemment signé un accord avec des représentants de la génération Z, trois mois après des soulèvements meurtriers qui ont mené à la chute du gouvernement.

Engagement pour l'avenir du pays
La première ministre Sushila Karki a qualifié cette étape de cruciale lors de la signature de l'accord avec Bhoj Bikram Thapa, représentant des personnes touchées par les manifestations. Les mesures prévues visent à lutter contre la corruption, renforcer la gouvernance et instaurer des réformes électorales et constitutionnelles. ## Soulèvement au Népal : demande de réponse du gouvernement
Le soulèvement mené par la jeunesse regroupée sous la bannière de la génération Z au Népal a entraîné la mort d'au moins 19 personnes lors de la répression du premier jour des manifestations en septembre. Les troubles se sont propagés à l'ensemble du pays, provoquant la chute du gouvernement après l'incendie du Parlement et des bâtiments gouvernementaux.
Au total, 76 personnes ont été tuées lors de deux jours de troubles. Suite à ces événements, l'ancienne cheffe de la Cour suprême, Sushila Karki, âgée de 73 ans, a été nommée première ministre par intérim pour diriger le pays himalayen jusqu'aux élections du 5 mars 2026.
La jeunesse, regroupée sous la bannière de la génération Z au Népal, défiant les inégalités, a rejoint les mouvements de jeunes dans d'autres régions du monde. Ces mouvements ont secoué des gouvernements en Afrique, en Asie et en Amérique latine, où la jeunesse s'est mobilisée massivement ces derniers mois.
