Zoom sur l'US Open : Naomi Osaka fait une grosse frayeur à Coco Gauff
Dans un match haletant à l'US Open, Naomi Osaka a réussi à éliminer Coco Gauff en huitièmes de finale, brisant les rêves de la numéro 3 mondiale. On peut dire que Gauff a été envoyée au tapis plus vite que le temps qu'il faut pour dire "Grand Chelem".
Retour gagnant pour Naomi Osaka, la reine de New York
Après avoir donné naissance à une fille et fait son grand retour sur le circuit WTA, Naomi Osaka semble bien décidée à s'imposer à nouveau. Son match contre Gauff a été plus explosif que les feux d'artifice du 14 juillet. On espère juste que Gauff a gardé des glaçons pour ses blessures.
Quand Osaka s'invite dans le dernier carré, les rivales tremblent
Avec cette victoire, Naomi Osaka se qualifie pour son premier quart de finale en Grand Chelem depuis des lustres. On peut dire qu'elle est plus redoutable que le Joker dans un mauvais jour. Les adversaires de la Japonaise ont intérêt à bien s'accrocher, car Osaka est de retour et elle n'est pas là pour plaisanter. ## La star japonaise toujours au top, la jeune Américaine en dents de scie
Depuis le début de sa carrière, la Japonaise de 27 ans a remporté tous les tournois majeurs où elle a atteint les quarts de finale. On imagine qu'elle doit avoir une sacrée collection de trophées à la maison, de quoi faire des envieux !
Gauff, quant à elle, achève une saison contrastée en Grand Chelem. Entre s'être fait éliminer en quarts de finale de l’Open d’Australie et avoir remporté son deuxième titre en Grand Chelem à Roland-Garros, il y a de quoi perdre son latin. Un véritable yo-yo émotionnel.
Des hauts et des bas à New York pour la numéro 3 mondiale
A New York, la numéro 3 mondiale a eu chaud face à la 79e mondiale, l’Australienne Ajla Tomljanovic. Visiblement, même les meilleures peuvent se faire surprendre par des adversaires moins bien classés. C'est la beauté du sport, n'est-ce pas ?
Puis, après avoir fondu en larmes durant son match contre la Croate Donna Vekic, l'Américaine s'est reprise avec brio en signant une victoire éclatante (6-3, 6-1) au troisième tour. On ne sait plus s'il faut sortir les mouchoirs ou les applaudissements pour suivre ses performances capricieuses.