Moblisation massive de forces de l'ordre pour le mouvement du 10 septembre
Le ministre de l'intérieur, Bruno Retailleau, a annoncé que "80 000 gendarmes et policiers" seront mobilisés pour prévenir toute violence lors du mouvement social du 10 septembre. Il a clairement indiqué que toute violence ou blocage ne sera pas toléré et a appelé à la fermeté.
Critiques envers La France insoumise et Jean-Luc Mélenchon

Bruno Retailleau a vivement critiqué La France insoumise et son leader, Jean-Luc Mélenchon, les accusant de vouloir attiser la colère des Français et créer un climat insurrectionnel. Il a souligné la détermination et la violence des groupuscules d'extrême gauche qui pourraient être à l'origine d'actions violentes lors du mouvement du 10 septembre.
Actions diverses attendues sur tout le territoire
Les autorités anticipent des actions variées à travers le pays, allant de blocages de gares, de raffineries et d'axes de circulation à des opérations de sabotage de radars automatiques et des manifestations classiques. Les services de renseignement reconnaissent la difficulté à prévoir ce que sera ce mouvement "horizontal" sans leader. Une source sécuritaire a souligné la grogne et la colère au sein de ce mouvement.
Consignes de fermeté pour les forces de l'ordre
Les policiers et gendarmes mobilisés recevront pour instruction d'agir avec fermeté et d'interpeller autant que possible en cas de soupçons de délits, a assuré M Retailleau. Les cortèges seront escortés pour garantir le droit constitutionnel de manifester pacifiquement, mais toute forme de violence ou de débordement ne sera pas tolérée.
Réaction de Jean-Luc Mélenchon face aux mesures de sécurité
Jean-Luc Mélenchon a déclaré que le ministre de l'Intérieur était en guerre contre le peuple français. Il a appelé à des actions maîtrisées et calmes, soulignant l'importance de rester pacifique dans toute manifestation.