Quand la mousson décide de jouer les serial killers au Pakistan
Ah, la mousson, ce phénomène météorologique si charmant qui transforme chaque année la saison des pluies en un véritable cauchemar pour les habitants du Pakistan. Cette année, la mousson s'est surpassée en causant la mort d'au moins 164 personnes en l'espace de vingt-quatre heures. On peut dire qu'elle a un véritable talent pour semer la terreur.
Une situation "inhabituelle" pour la mousson estivale

Les autorités qualifient cette situation de "très inhabituelle". Ah bon, vraiment ? Parce que mourir noyé dans des eaux déchaînées, c'est plutôt la routine habituelle à cette période de l'année au Pakistan. Les précipitations ont été 73% supérieures à celles de l'année précédente. La mousson avait certainement décidé de se mettre en mode apocalypse cette fois-ci.
Des hélicoptères des secours prêts à améliorer le bilan
Et comme si les 164 morts ne suffisaient pas, un hélicoptère des secours s'est crashé en plein vol. On pourrait presque dire que même les secours étaient victimes de la mousson. Mais bon, au moins, cela devrait permettre d'améliorer le bilan des morts. Merci, la mousson, pour ce moment... ## Mousson meurtrière au Pakistan : la nature n'aime pas les touristes
Ah le Pakistan, ses montagnes majestueuses, ses vallées verdoyantes et ses pluies torrentielles mortelles ! Rien de tel qu'une petite virée estivale pour se détendre, surtout lorsque l'on sait que la mousson est là pour pimenter le séjour.
Des pluies qui tombent plus vite que le gouvernement lève les impôts
Cette année, la mousson s'est offert un petit relooking "inhabituel". Il faut dire que les précipitations dans le Pendjab ont augmenté de 73%, de quoi ravir les amateurs de baignade improvisée. Les chiffres font peur : plus de morts en un mois que lors de la dernière saison des pluies. La nature a décidé de dégainer plus fort, ça va swinger dans les plaines pakistanaises.
La mousson, cette blague de l'été qui tourne mal
On a beau dire que la mousson est vitale pour les agriculteurs et les deux milliards d'habitants de la région, mais quand même, ça manque de subtilité. Ces inondations dévastatrices, ces 33 millions de personnes affectées, ces 1 700 morts et ces récoltes perdues, tout ça pour une simple averses de pluie ? On se croirait dans un mauvais film catastrophe, mais sans les effets spéciaux. La nature a de l'humour noir, et elle se lâche !