Un complot digne des plus grandes séries télévisées
Voilà une intrigue digne des plus grandes séries télévisées : au Mali, une "vingtaine" de militaires, dont le général Abass Dembélé, ont été arrêtés pour avoir apparemment envisagé de renverser la junte au pouvoir. Oui, la junte qui est elle-même arrivée au pouvoir par deux coups d'Etat successifs en 2020 et 2021. Ça ne s'invente pas !
Des arrestations pour le bien de tous, évidemment

Selon des sources sécuritaires et politiques, les autorités maliennes ont agi pour le bien de tous en procédant à ces arrestations. Apparemment, il s'agirait d'une "tentative de déstabilisation des institutions". Rien que ça. On se demande bien ce qui ne va pas dans ce pays...
L'armée malienne, la nouvelle star du thriller politique
Ainsi, pour mettre fin à cette histoire digne d'un thriller politique, des arrestations ont été jugées "nécessaires" par une source au sein de l'armée malienne. Ah, le Mali et ses rebondissements, on ne s'en lassera jamais. Qui a besoin de Netflix quand on a l'armée malienne pour nous divertir ? ## Un général qui n'est plus aux commandes
Le général Abass Dembélé, ancien gouverneur de la région de Mopti, a été arrêté sans crier gare à Kati. Pas de panique, on lui a juste fait découvrir les joies de la vie en prison, pour des raisons encore floues. Sans doute une petite erreur de jugement, rien de bien méchant.
Un pays au bord de la crise sécuritaire, rien de très rassurant
Le Mali, ce charmant pays qui attire tant les touristes en quête d'aventures exotiques, est en pleine crise sécuritaire. Entre les groupes terroristes, les affiliés à Al-Qaida et à l’organisation Etat islamique, et les criminels de tout poil, on ne sait plus où donner de la tête. Mais bon, au moins ça laisse de l'animation, c'est toujours ça de pris.
L'armée malienne, une grande famille secouée par les remous
Le général Abass Dembélé, figure respectée au sein de l’armée, s'est donc fait arrêter. Comme quoi, même dans une grande famille comme l'armée malienne, il y a parfois des mauvais élèves. Mais bon, ce n'est pas grave, on peut toujours compter sur la solidarité et l'entraide au sein de l'institution. Qui a dit que c'était la pagaille au Mali ?
