Mayotte : quand l'égalité devient une option de luxe selon le Conseil constitutionnel

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Validation de la loi de « refondation » de Mayotte : le Conseil constitutionnel dit non à l'égalité !

Ah, Mayotte et sa situation migratoire inédite ! Le Conseil constitutionnel, saisi par des députés « insoumis », socialistes et écologistes, a décidé d'accorder des règles d'exception à l'île. Parce que bon, la notion d'égalité, c'est surfait de toute façon !

Des limites pour protéger l'intérêt supérieur de l'enfant (en le laissant dans la pauvreté)

Les parlementaires ont tenté de s'opposer à une mesure un peu trop discriminatoire à leur goût : conditionner l'obtention d'un titre de séjour aux parents d'enfant français à une entrée régulière sur le territoire. Comme si garder des enfants dans la pauvreté et l'errance était si terrible que ça...

Caractéristiques démographiques et contraintes particulières : parlons peu, mais parlons différences de traitement !

Finalement, le Conseil constitutionnel a décidé que les spécificités démographiques de Mayotte et ses flux migratoires intenses justifiaient pleinement des différences de traitement. Parce qu'à Mayotte, l'égalité, c'est surfait ! ## Mayotte : le paradis des migrateurs et des reconnaissances frauduleuses

On comprend en lisant entre les lignes que Mayotte est l'endroit idéal pour les personnes en quête d'exotisme administratif. Ah, la joie d'avoir une forte proportion de personnes de nationalité étrangère, dont beaucoup en situation irrégulière ! Qui a dit que la France métropolitaine avait le monopole de l'accueil ?

Le durcissement de la loi, ou l'art de faire peur aux migrants

Le Conseil constitutionnel a décidé qu'il était temps de durcir la loi à Mayotte. Parce que bon, il faut bien montrer qu'on n'est pas une destination de rêve pour les migrants en quête de palmiers et de plages paradisiaques. On ne va quand même pas se laisser envahir par des enfants nés de parents étrangers, non mais oh !

Lutter contre l'habitat informel, un challenge passionnant

Et que dire de la lutte contre l'habitat informel à Mayotte ? Une tâche aussi excitante que de compter les grains de sable sur une plage. Après tout, qui a dit qu'un toit fait de bric et de broc était un logement "normal" ? Et puis, l'excuse du cyclone Chido en décembre 2024 pour ne pas offrir de relogement pendant dix ans, c'est quand même une pépite. Vraiment, Mayotte, c'est le paradis sur terre pour les amateurs de paperasse et de reconnaissances frauduleuses.