L'humour sauvera-t-il la mise à Maurice Kamto ?
Maurice Kamto, l'opposant camerounais interdit de participer à l'élection présidentielle du 12 octobre prochain, a décidé d'utiliser l'arme ultime : l'humour ! En effet, dans une vidéo diffusée sur sa page Facebook officielle, il a dénoncé les manœuvres du régime en place, l'accusant de l'avoir écarté de façon « arbitraire ».
Un complot digne d'un mauvais film de série B

Selon Maurice Kamto, la décision de l'exclure de la course à la présidence en 2025 était déjà prévue depuis longtemps par le régime de Paul Biya. Le Conseil constitutionnel a définitivement rejeté son recours contre la décision d'Elections Cameroon (Elecam) justifiant son refus par le dépôt d'un dossier similaire sous la même étiquette du Manidem par un autre candidat. Une "pluralité d'investitures" sortant tout droit du chapeau magique du régime en place, on aura tout entendu !
Quand la politique se transforme en comédie burlesque
Maurice Kamto, ancien président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) et ex-deuxième à l'élection présidentielle de 2018, a décidé de jouer la carte de l'humour pour dénoncer ce qu'il considère comme un complot. Et il semble prêt à tout pour avoir le dernier mot dans cette comédie politico-burlesque. Affaire à suivre, en espérant qu'elle se termine en happy end pour lui. ## Quand la politique se transforme en jeu de chaises musicales
Ah, la politique camerounaise, un vrai spectacle de cirque où les règles du jeu changent comme le vent. Imaginez un pays où seuls les partis avec des élus peuvent participer à la grande messe présidentielle. Mais attention, pas n'importe quels élus, seulement ceux qui ont su éviter l'élection boycottée par le MRC en 2020.
Un report bien suspect de certaines élections
Maurice Kamto, tête pensante du MRC, crie au complot ! Selon lui, le gouvernement aurait reporté les législatives et municipales de février 2025 pour l'empêcher de présenter son candidat à la présidentielle d'octobre. Une stratégie bien tordue pour garder le pouvoir et éviter que le MRC n'ait son mot à dire. Mais bon, rien de bien étonnant dans ce monde de requins et de coups bas.
L'opposition, toujours en mode cacophonie
Comme d'habitude, l'opposition camerounaise peine à s'unir. Un collectif de partis s'est pourtant engagé à trouver un candidat consensuel avec un programme commun. Autant dire que les chaises musicales politiques ne sont pas prêtes de s'arrêter, et le spectacle, lui, est loin d'être terminé. Qui prendra finalement place sur le siège présidentiel ? Mystère et boule de gomme !