Loïs Boisson, la reine de la terre battue, se risque sur dur à Cleveland avant l'US Open
Après avoir dû zapper les tournois de Montréal et Cincinnati en raison d'une blessure à l'adducteur gauche, Loïs Boisson se retrouve finalement à Cleveland pour se mesurer aux autres sur dur avant l'US Open. Une sacrée revanche pour la jeune française, habituée à briller sur terre battue.
Une joueuse de tennis qui a le mal de la terre battue sur dur

A seulement 22 ans, cette révélation de Roland-Garros et vainqueur du WTA 250 de Hambourg en juillet, Loïs Boisson fait ses premiers pas sur les courts en béton de Cleveland. Une adaptation loin d'être facile pour celle qui a l'habitude de piétiner la terre battue avec succès. Mais bon, après tout, il faut bien diversifier les surfaces de jeu pour éviter de s'ennuyer !
Un bilan sur dur aussi impressionnant que le nombre de pas effectués par un joueur de curling
Avec un taux de réussite d'environ 47% sur dur, Loïs Boisson n'a pas exactement l'habitude de briller sur cette surface. Mais pourquoi pas tenter sa chance et voir si elle peut surprendre tout le monde à l'US Open ? Après tout, l'important, c'est de participer, n'est-ce pas ? ## Le destin fulgurant de Loïs Boisson : une montée en flèche vers le top 50 mondial
Alors là, on peut dire que Loïs Boisson a secoué le petit monde du tennis féminin. Avec un palmarès qui ferait presque pâlir Rafael Nadal - un quart de finale au WTA 125 de Limoges et deux autres en division inférieure à Grenoble et Mâcon, excusez du peu ! Ces performances, on en parle comme si c'était des Rolls Royce sur une autoroute de campagne.
L'adaptation sur dur : un vrai défi pour Loïs Boisson
Maintenant qu'elle a goûté au succès, il faut voir comment notre numéro 1 française va s'en sortir sur le dur. Parce que bon, entre la terre battue et le béton américain, y'a pas photo. Loïs Boisson elle-même l'a dit, elle va avoir besoin de temps pour s'habituer à cette surface. Genre beaucoup de temps. Peut-être même des années.
Le marathon de Loïs Boisson vers l'US Open
Forfait par-ci, forfait par-là, on commence à se demander si Loïs Boisson n'a pas peur de ses adversaires. Mais bon, Cleveland sera peut-être l'occasion pour elle de se remettre dans le bain (et non pas dans le whisky, on est bien d'accord). Son objectif ? Être à 100% pour l'US Open. Ça promet un beau spectacle, surtout si elle arrive à ne pas se blesser en mettant un pied devant l'autre.
