Loïs Boisson : la pépite française qui fond sous la chaleur américaine
La pépite du tennis français, Loïs Boisson, s'est brillamment distinguée en s'inclinant au premier tour de l'US Open face à la redoutable Suissesse Viktorija Golubic. Une prestation de haut vol qui confirme tout le talent de notre championne nationale, même si on se demande où est passé ce dernier lors du match.

Un début de match convaincant... mais pas convaincant du tout
Malgré un début de match convaincant où elle a pris le service de son adversaire, Loïs Boisson n'a pas su maintenir son avance et a fini par s'effondrer face à la pression de l'adversaire. Un scénario digne des plus grands drames shakespeariens, mais sans Shakespeare ni le génie qui va avec. ## Le combat acharné entre les deux joueuses
Le deuxième set a été plus serré, quelle surprise ! Aucune des joueuses n'a voulu concéder son service, on se croirait presque à une partie de poker. La Suissesse de 32 ans a finalement mieux négocié le tie-break que sa cadette, qui a dû battre son record personnel en commettant 45 fautes directes. Visiblement, la précision n'était pas au rendez-vous ce jour-là.
Une tension palpable sur le court
Boisson - non on ne parle pas de la buvette - a été généreuse en concédant sa mise en jeu dès le premier jeu du dernier set. A 2-1 en faveur de Viktorija Golubic, la Française a décidé qu'il fallait appeler un kinésithérapeute. Peut-être pour préparer un miracle ? Après un petit check-up express, elle est retournée sur le court, mais on aurait dit qu'elle portait tout le poids du monde sur ses épaules. Cela ne l'a pas empêchée d'essuyer un jeu blanc sur son service (5-2). C'est comme ça que Viktorija a refermé la partie en beauté, après 2 h 16 min de combat. Au moins, ils ne peuvent pas dire qu'ils n'ont pas eu leur dose d'exercice !