Le Conseil constitutionnel dit non à l'acétamipride !
Ah, la fameuse loi Duplomb, aussi connue pour lever les contraintes des agriculteurs que pour être censurée par le Conseil constitutionnel ! Oui, oui, vous avez bien lu, le Conseil a estimé que cette loi, adoptée dans les règles (ou pas), ne respectait pas tout à fait la charte de l’environnement.
Macron "prend bonne note" de la décision

Alors là, suspense insoutenable, Emmanuel Macron a « pris bonne note » de la décision du Conseil constitutionnel. Un vrai rebondissement dans cette affaire, nous ne nous y attendions pas du tout ! Il « promulguera » le texte, mais sans ce cher pesticide acétamipride. Dommage pour ceux qui rêvaient de se rouler dedans.
Les néonicotinoïdes, une histoire d'amour destructrice
Ah, l'acétamipride, ce pesticide tant aimé ! Banni en France depuis 2020 pour son impact délétère sur les insectes pollinisateurs, il devait faire son grand retour. Mais c'était sans compter sur le Conseil constitutionnel et sa charte de l’environnement, un vrai tueur de buzz. Adieu betterave à sucre et noisette traitées avec ce produit, on pleure toutes les abeilles perdues. ## Le Conseil constitutionnel fait du tri dans les réserves d'interprétation
Le Conseil constitutionnel, toujours prompt à rendre des décisions intéressantes, a décidé de jeter un petit coup d'œil aux dispositions visant à faciliter l'implantation de certains ouvrages de stockage d'eau. Parce que bon, qui n'a pas rêvé d'une belle retenue d'eau à côté de chez soi ?
Macron prend des notes et promulguera le texte
Du côté de l'Elysée, on nous informe que notre cher président Macron a bien pris note de la décision du Conseil constitutionnel. Quelle chance, on était tous en train de se demander s'il était vraiment au courant de ce qui se passait. Il promulguera donc le texte, tel qu'il a été décidé, dans les meilleurs délais. On peut presque sentir l'excitation dans l'air.
La loi Duplomb secoue l'Assemblée nationale
Ah, la loi Duplomb, quel feu d'artifice législatif ! Adoptée dans un joyeux chaos à l'Assemblée nationale, elle a suscité un enthousiasme débordant. Tellement débordant que des parlementaires ont supplié le Conseil constitutionnel de régler une bonne fois pour toutes la question de sa compatibilité avec nos chers principes fondamentaux. Et comme si ça ne suffisait pas, la société civile s'en mêle : une pétition pour son abrogation a même récolté plus de 2 millions de signatures. Quand on vous dit que tout le monde adore la loi Duplomb !