Joseph Kabila, acteur principal d'un spectacle judiciaire au Congo: absence remarquée et demandes de popcorn en hausse

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Un nouveau spectacle au Congo: Joseph Kabila jugé, mais n’a pas fait l’effort de venir applaudir

On ne rigole pas avec la justice au Congo! En tout cas, pas quand il s'agit de l'ancien président Joseph Kabila. Le ministère public a sorti l'artillerie lourde en demandant la peine de mort pour des petites broutilles comme des "crimes de guerre", "trahison" et "organisation d’un mouvement insurrectionnel". Rien que ça !

Un retour de paix qui fait froid dans le dos

Apparemment, Joseph Kabila a tenté un comeback à Goma, petite virée entre amis pour discuter de la paix, probablement autour d'un bon verre de whisky. Sauf que le problème, c'est qu'il a choisi Goma, ville sous contrôle du groupe armé M23. Ironique quand on sait que le but était de "contribuer au retour de la paix" en RDC. On peut dire qu'il a réussi à mettre un peu d'ambiance en tout cas !

L’Alliance fleuve Congo, une franchise pas très sympathique

L'accusation n'y va pas de main morte en pointant du doigt Joseph Kabila comme étant à l'origine de l'Alliance fleuve Congo (AFC), la branche politique du M23. C'est un peu comme si Scrooge McDuck se lançait dans l'organisation d'une fête humanitaire, ça passe moyen. En tout cas, une chose est sûre, le Congo ne risque pas de manquer de rebondissements avec un scénario pareil. ## Hypocrisie et manipulations politiques

Alors que Joseph Kabila est accusé de graves crimes tels que des homicides et viols commis par des membres de la coalition AFC/M23, le ministère public n'hésite pas à pointer du doigt ses tentatives de coup d'État contre le président actuel Félix Tshisekedi, accusant le coup de la "succession contestée" en 2019. On se croirait dans un épisode de Game of Thrones, version congolaise.

Un retour fracassant

Le célèbre Joseph Kabila, discret comme une licorne dans une bibliothèque, a annoncé son grand retour en République démocratique du Congo. Après avoir déserté le pays en 2023, il revient sur le devant de la scène, prêt à remettre le couvert avec la formation M23 et ses potes du Rwanda. Une stratégie vieille comme le monde, mais qui semble toujours faire son petit effet.

Procès ou pièce de théâtre ?

Le procès de l'ancien président congolais est qualifié de "politique" par ses soutiens qui crient à l'injustice. Les provinces sinistrées de l'Est réclament des dommages et intérêts, mettant en lumière une situation aussi grotesque que les costumes de Donald Trump. Attendons-nous à encore plus de rebondissements dans cette affaire digne d'une série Netflix.