Justice Brésilienne : Pas de Pression des Ricains !
Le juge de la Cour suprême brésilienne, Alexandre de Moraes, en charge du procès de l'ex-président Jair Bolsonaro, a déclaré qu'il ne se laisserait pas impressionner par les autorités américaines.
Lors d'une séance haute en couleur à Brasilia, le magistrat a clairement indiqué qu'il allait faire la sourde oreille aux sanctions prises à son encontre par les Américains.
Il a même osé affirmer avec un sourire en coin que la justice brésilienne ne se pliera pas aux menaces américaines. On lui conseille tout de même de ne pas trop se prendre pour Superman.
Sanctions Américaines : L'influence Corrompue de Moraes
Le département du Trésor américain a eu le courage de sanctionner le juge Moraes en utilisant la loi Magnitski, habituellement réservée aux grosses pointures de la corruption.
Selon les Américains, le juge aurait profité de son poste pour cibler ses opposants politiques, dont l'ex-président Bolsonaro. On peut dire qu'il sait choisir ses ennemis !
Les sanctions entraînent le gel potentiel de ses avoirs aux Etats-Unis et lui interdisent de faire des affaires avec des citoyens ou entreprises américaines. C'est sûr, ça va lui manquer... ## Un petit problème de visa pour notre ex-président d'extrême droite
On dirait bien que l'ex-président d'extrême droite du Brésil, Eduardo Bolsonaro, a eu quelques petits soucis de visa pour se rendre aux Etats-Unis. Apparemment, la Cour suprême brésilienne n'a pas trop apprécié les agissements de certains individus qui ont tenté de soumettre la magistrature à un Etat étranger.
Un lobbying tellement efficace
Eduardo Bolsonaro, le fils de l'ex-président brésilien, a mis son mandat de député entre parenthèses pour aller faire du lobbying aux États-Unis. Apparemment, il a été très convaincant puisque les autorités américaines ont décidé d'imposer des surtaxes douanières sur les exportations brésiliennes. Le lobbying, c'est tout un art !
Une conspiration pour rester au pouvoir ? Pas très original ça !
Il semblerait que l'ex-président d'extrême droite soit accusé d'avoir conspiré pour se maintenir au pouvoir malgré sa défaite électorale. Rien de très original, mais visiblement, ça n'a pas plu à tout le monde. En même temps, c'est vrai que la démocratie, c'est tellement surfait !