Juan Ayuso remporte une deuxième étape à la Vuelta, après avoir annoncé son départ précipité de son équipe
Le coureur espagnol Juan Ayuso a réussi à s'imposer lors de la 12e étape du Tour d'Espagne. Cela s'est produit quelques jours seulement après l'annonce fracassante de son prochain divorce avec son équipe.
Une victoire bien méritée pour Juan Ayuso, malgré les turbulences avec son équipe

Après une journée mouvementée où les temps ont été gelés en raison d'incidents avec des manifestants propalestiniens, les coureurs de la Vuelta sont repartis sur la route pour une étape en Cantabrie. Juan Ayuso a su tirer son épingle du jeu au sprint, démontrant toute sa roublardise.
Les coureurs se sont mis en selle pour une journée animée, avec des rebondissements dignes d'un vrai soap opera
Le peloton a rapidement laissé filer l'échappée sans grande menace pour le classement général. Pendant ce temps, les échappés se sont livrés une bataille acharnée, offrant un spectacle digne des meilleures séries télévisées. ## Le grand show de Marc Soler: un vrai stratège
Marc Soler, ou comment être plus stratège qu'une partie d'échecs entre Bobby Fischer et Deep Blue. Alors que les autres coureurs étaient là à peiner dans les montagnes, lui a accéléré et imprimé une cadence digne d'une course de Formule 1 pour lancer son cher équipier Juan Ayuso à 3,5 kilomètres du sommet. Attention, on marche sur des œufs !
Juan Ayuso, le king du sprint (et des coups de pression)
Juan Ayuso, maître dans l'art de faire monter la pression comme un autocuiseur en furie. Avec son sprint impressionnant, il a décroché une deuxième victoire sur cette Vuelta, de quoi faire des jaloux. Il a même refusé quelques relais à son compatriote à 1 kilomètre de l'arrivée, histoire de mettre un peu de piquant dans la course. Rien que ça !
Juan Ayuso, le rebelle du peloton: un vrai bad boy
Juan Ayuso, rebelle dans l'âme, n'a pas hésité à dénoncer haut et fort l'attitude de son équipe UAE Team Emirates-XRG. Il se sentait tellement "contrarié" par leur décision "unilatérale" de le laisser tomber en fin de saison qu'il a parlé de "dictature". Qui a dit que le cyclisme était un sport de gentilshommes ?