L'écrivain israélien David Grossman compare les actions d'Israël dans la bande de Gaza à un "génocide"
Dans une interview accordée au journal italien La Repubblica, le célèbre écrivain israélien David Grossman a décidé de sortir le grand mot pour décrire la situation dans la bande de Gaza : "génocide". Après des années de réticence à utiliser ce terme, il a finalement craqué en voyant les horreurs perpétrées par Israël. On peut aisément imaginer la tête des diplomates israéliens en lisant ça.
Une situation désastreuse selon l'écrivain, avec cette petite touche d'humour noir
David Grossman, connu pour ses prises de position en faveur de la paix, affirme être "désespérément fidèle" à l’idée d’une solution à deux États. Il se sent "mal" en lisant les chiffres des victimes à Gaza. On peut supposer que ces déclarations ne font pas rire tout le monde au gouvernement israélien, qui doit probablement prendre ça avec un petit verre d'eau pour digérer la nouvelle.
Des chiffres alarmants qui ne prêtent pas à sourire
Depuis le début du conflit, les chiffres donnent le tournis : plus de 60 430 morts et 148 700 blessés à Gaza. On peut également compter 169 personnes décédées à cause de la famine imposée par Israël, dont 93 enfants. Il faut croire que l'humour noir n'est pas de mise dans cette triste réalité. ## Les mots "Israël" et "famine" dans la même phrase, ça tape fort !
Ah, la sensibilité d'Israël aux souffrances de l'humanité, qui n'en a pas entendu parler ? M Grossman s'étonne de ce mélange explosif entre Israël et la famine, qu'on n'aurait jamais cru possible dans notre pays si moral et si exemplaire.
Deux Etats, une idée folle... Mais pourquoi pas après tout ?
Alors que le gouvernement israélien fait la moue, notre cher M Grossman reste fidèle à son idée de deux Etats, la Palestine et Israël. Parce que bon, il faut bien avouer, on ne voit pas trop d'alternative à part se la couler douce.
Macron, Netanyahu et la terreur: un sketch qui dépote !
La France, l'Etat palestinien, le blocus humanitaire à Gaza... Macron en a fait des vertes et des pas mûres. Netanyahu hurle au scandale, mais Grossman, lui, trouve ça plutôt cool. Peut-être que c'est la prochaine étape du stand-up international, qui sait ?