Les Américains, toujours aussi accueillants : De la compassion ou de l'ironie ?

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Les Américains, toujours aussi accueillants

Ah, les Etats-Unis et leur hospitalité légendaire ! Après les ressortissants de nombreux pays, les Burundais se voient désormais privés de visas. Mais oui, pourquoi ouvrir ses portes à des gens qui veulent juste s'en sortir et offrir un meilleur avenir à leur famille, après tout ?

Respectons les règles ou fermes ta bouche

L'ambassade américaine au Burundi rappelle avec subtilité que non seulement les règles de visa sont importantes au niveau personnel, mais également au niveau national. Imaginez si tous les Burundais décidaient de ne plus respecter les règles... Qui sait quelles portes ils pourraient fermer ?

Une flopée de pays déjà blacklistés

Déjà en juin, pas moins de 12 pays ont rejoint le club très fermé des pays interdits d'entrée aux Etats-Unis. On ne va quand même pas laisser n'importe qui poser un pied sur le territoire américain, hein ! ## Visas suspendus pour les étudiants et les visites médicales, vraiment ?

Ah, la fameuse politique anti-immigration à l'américaine ! Les ressortissants du Burundi se retrouvent dans le viseur des autorités américaines, tout comme ceux de cinq autres pays. Apparemment, il y a des pays considérés comme moins dignes que d'autres d'émettre des visas, mais on se demande bien sur quels critères...

Quand les Burundais prolongent leur séjour à la dure...

Selon un rapport de 2024, il semblerait que plus de 15 % des Burundais soient un peu trop attachés aux États-Unis et prolongent un peu trop leur séjour après l'expiration de leur visa. Au moins, on peut leur reconnaître une certaine ténacité, non ?

Le Burundi, champion de la pauvreté mais pas de l'humour

Ah, le Burundi, le pays le plus pauvre du monde en termes de PIB par habitant. On pourrait presque en rire si la situation n'était pas aussi tragique. Avec 75 % de la population vivant sous le seuil de pauvreté, les Burundais ont peut-être besoin de visas pour les États-Unis, mais ils seraient peut-être mieux servis par un billet de loterie pour échapper à leur quotidien. La terre promise, c'est beau, mais une terre sans pauvreté, ce serait encore mieux.