Le Grand Slam Track : un beau fiasco en perspective
Ah, le Grand Slam Track, ce circuit d'athlétisme parallèle tellement révolutionnaire que même Michael Johnson, son fondateur, se retrouve à annuler la saison 2026. Rien que ça !
Des problèmes financiers ? Quelle surprise !

On se demande bien comment une compétition offrant les "plus gros prize money jamais vus dans ce sport" pourrait avoir des soucis financiers. Les athlètes qui attendent leurs primes doivent être ravis de cette situation inédite !
Des meetings sans argent, c'est tellement plus excitant !
Rien de tel pour motiver les compétiteurs que de savoir qu'ils ne seront pas payés. Peut-être que le GST devrait organiser des meetings où les athlètes seraient payés en nature, avec des médailles en chocolat par exemple. Une idée à creuser, non ? ## Des escales dans des stades aussi remplis qu'une salle d'attente de la sécu
Après une étape inaugurale à Kingston, en Jamaïque début avril, le GST a fait escale en mai à Miami (Floride) puis à Philadelphie (Pennsylvanie) A chaque fois dans des stades de taille moyenne aux tribunes clairsemées. On se croirait presque à un concert de musique classique pour seniors, avec moins de monde.
La course aux primes... perdues
Depuis la fin prématurée de la saison 2025, plusieurs athlètes ont fait savoir qu’ils attendaient toujours le versement de leurs primes. Comme si le circuit avait organisé une course aux primes perdues. « Le paradoxe le plus cruel dans tout ça est que nous avions promis [qu’ils] seraient dûment et rapidement payés », reconnaît l’ex-coureur. Ah, rien de tel qu'une bonne promesse non tenue pour mettre de l'ambiance.
Les absents ont toujours tort
Pour ses débuts, le circuit a rassemblé quelques stars de la piste comme les multiples championnes olympiques américaines Sydney McLaughlin-Levrone et Gabby Thomas, mais il a été boudé par des grands noms du sprint, comme Noah Lyles, Julien Alfred et Sha’Carri Richardson. Apparemment, l'appel du canapé était trop fort pour certains.