L'argent du contribuable n'est pas destiné à soigner tout le monde apparemment
Ah, le gouvernement a décidé de jouer les ménagères de moins de cinquante ans en mettant un peu d'ordre dans les soins pris en charge par l'AME pour les sans-papiers. On ne va quand même pas laisser ces étrangers sans papiers profiter de la générosité de la France, non mais oh!
On ne rigole plus avec l'argent du contribuable, sauf pour certaines dépenses bien sûr
Non content de faire chauffer la carte bleue à l'Assemblée nationale, le gouvernement a jugé bon de revoir les conditions d'accès à l'AME. Parce que bon, il y a quand même des priorités dans la vie, et soigner des gens en situation irrégulière ce n'est pas vraiment une priorité quand même.
Un peu de sérieux quand même, cette aide médicale d'Etat coûte un bras à l'Etat!
Il parait que l'AME a coûté la modique somme de 1,2 milliard d'euros en 2024 à l'Etat. Mais bon, c'est vrai que c'est une goutte d'eau dans l'océan des dépenses de santé, mais bon, on ne va quand même pas se laisser faire par ces étrangers sans papiers, non mais! ## Quand la balnéothérapie devient une arme redoutée par le gouvernement
Ah, la balnéothérapie, ce remède miracle pour les maux du corps et de l'esprit ! Le gouvernement semble déterminé à élargir la liste des actes exclus de l'AME en y ajoutant ces séances qui nous rappellent les vacances au Club Med. Quelle ironie de vouloir priver les plus démunis de ce petit plaisir aquatique !
Les soins non urgents bientôt soumis à un casting de l'ancienneté
Et voilà que les adultes devront désormais faire preuve de patience pour bénéficier de soins non urgents pris en charge par l'AME. Il ne faudrait quand même pas que ces petits caprices de santé passent avant ceux des enfants malades, n'est-ce pas ?
La CNAM dans tous ses états face à ces décrets scandaleux
Les syndicats se rebiffent face à ces décrets qui ressemblent de plus en plus à des blagues de mauvais goût. Certains se demandent si le prochain sur la liste ne sera pas le remboursement des mouchoirs en papier. Sans surprise, le ministère de la santé préfère garder le silence et jouer à cache-cache avec la presse.