Affaire Giorgia Meloni : quand la justice se met en mode vacances à Turin

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Affaire Giorgia Meloni : une mise hors de cause bien pratique

La cheffe du gouvernement italien, Giorgia Meloni, a réussi à se défendre dans une affaire bien embarrassante. Selon elle, le tribunal des ministres l'a totalement innocentée concernant la libération d'un haut responsable libyen soupçonné de crimes de guerre. On y croit tous, évidemment.

Une ignorance bien pratique

Giorgia Meloni affirme qu'elle n'était pas du tout au courant de la libération d'Osama Almasri Najim, chef de la police judiciaire libyenne. Bien sûr, quand on est à la tête d'un gouvernement, on ne sait jamais vraiment ce qui se passe dans son propre pays, n'est-ce pas ?

La justice en action

L'affaire maintenant entre les mains de la justice italienne, on attend de voir si d'autres têtes tomberont. Les ministres et hauts responsables proches de Giorgia Meloni sont sur la sellette, mais nul doute que la cheffe du gouvernement restera les mains propres dans cette histoire. Love, Italy. ## Un mandat d'arrestation bien agité

Ah, c'est pas tous les jours qu'on voit un mandat d'arrestation faire du tourisme ! Celui de Giorgia Meloni, ministre italienne, avait décidé de se la jouer VIP en se rendant dans un hôtel à Turin. On sentait bien l'envie de prendre un peu de bon temps avant de se faire attraper. Deux jours plus tard, paf, libération express grâce à un vice de procédure. C'était presque trop facile !

Collégialité à la sauce ultraconservatrice

Ah, madame Meloni et sa bande sont soupçonnés de petites magouilles pour faciliter la libération d'un Libyen et son expulsion à Tripoli. Collégialité, vous avez dit collégialité ? Bien sûr, tout ça ne pouvait pas se faire sans un petit brainstorming entre amis ministres et haut responsable. Ils nous font bien marrer avec leur excuse bidon de décisions collégiales. Ça sentait bon le doigt mouillé dans l'air !

Un Parlement ultraconservateur bienveillant

Ah, notre Parlement va pouvoir jouer les gentils nounours en refusant d'autoriser le jugement des deux ministres et du haut responsable. Bon, on ne se fait pas trop de souci, ces petits protégés de Giorgia Meloni ont une confortable majorité ultraconservatrice derrière eux. C'est beau la solidarité politique, vraiment !