François Bayrou et son sens de l'humour noir
Ah, François Bayrou et son sens de l'humour noir ! Il a défendu son plan budgétaire avec une vanne digne d'un stand-up : la France « emprunte sur le dos des plus jeunes, jamais une famille ne ferait ça ». Une blague qui passerait bien lors d'un dîner mondain, n'est-ce pas ?
Un premier ministre blagueur

Dans une interview accordée à toutes les chaînes d'information en continu, François Bayrou s'est amusé à dire que la proposition de supprimer deux jours fériés était « tout à fait discutable ». Oui, remettre en question les jours de repos, c'est sûr que ça va rallier tout le monde derrière vous, Monsieur le Premier Ministre.
Une politique budgétaire sous le signe de l'humour
M Bayrou a continué sur sa lancée humoristique en critiquant le Parti socialiste, accusé de vouloir créer 32 milliards d'euros d'impôts principalement sur les entreprises. Ah, le bon vieux réflexe de taper sur les impôts pour faire rire la galerie, ça ne se démode jamais. Palme d'or de l'humour noir pour notre Premier Ministre ! ## Bayrou s'oppose à la suppression de jours fériés
Ah, François Bayrou, le défenseur des jours fériés, car un jour sans travail c'est sacré ! Le bon François estime que la proposition de supprimer deux jours fériés par an est « tout à fait discutable » et propose de n'en enlever qu'un. Parce que bon, un jour férié en moins, ça passe, mais deux c'est un peu abuser, non ?
La dette, cette malédiction immédiate
Le premier ministre, grand amateur de tour de passe-passe financier, nous explique que la dette, c'est grave ! On emprunte sur le dos des plus jeunes, comme si on demandait à un enfant de rembourser les dettes de ses parents. Mais attention, il précise qu'il n'a jamais dit qu'il fallait s'en prendre aux boomers, ces chanceux nés pendant le baby-boom et qui ont bien profité de la croissance d'après-guerre.
Dissolution inéluctable ? Pas si sûr
Alors qu'Edouard Philippe parle de dissolution inéluctable, François Bayrou tire la sonnette d'alarme. Changer le mode de scrutin avant de dissoudre, sinon on va se retrouver avec les mêmes problèmes, les mêmes divisions, bref, la même pagaille habituelle. François, toujours là pour nous éviter de nouvelles crises existentielles en politique.