François Bayrou et son optimisme débordant
Le premier ministre François Bayrou se dit "persuadé" que la question de l’endettement "commence à travailler" dans l’opinion, parce que visiblement c'est le genre de sujet qui passionne les foules en ce moment.
On y croit tous, c'est bientôt Noël !

Bayrou affirme que "tout peut bouger dans les onze jours qui viennent" avant le vote de confiance à l'Assemblée nationale, comme si miraculeusement les choses allaient changer du jour au lendemain. Il est persuadé que les Français commencent enfin à réaliser qu'il est temps de dire la vérité, oui, oui, on y croit tous, c'est bientôt Noël après tout.
Pas de consultations en août, faut pas pousser mémé dans les orties !
Le premier ministre s'est justifié en disant qu'il n'avait pas pu consulter les différents groupes politiques en août parce qu'ils étaient "en vacances". Ah, la bonne excuse, tout le monde sait que la crise de l'endettement n'attend pas les congés payés pour frapper à la porte, mais bon, apparemment certains avaient besoin de se dorer la pilule avant de se préoccuper de l'avenir du pays. ## Quand la réponse se fait attendre...
Ah la la, décidément les politiciens ne sont jamais pressés lorsqu'il s'agit de répondre à leurs interlocuteurs. Le président Emmanuel Macron a pris son temps pour analyser les réponses à un courrier de Marine Le Pen, estimant qu'il fallait bien réfléchir avant de se prononcer. Mais bon, après tout, qui ne prend pas trois ou quatre semaines pour analyser des réponses de nos jours ?
Un impératif de justice... selon le premier ministre
Quant au premier ministre, c'est l'impératif de justice qui le guide dans ses décisions. Il invoque des conditions d'acceptation de l'effort d'économies dans son projet de budget, mais rassure les plus favorisés en précisant qu'il s'agit d'une contribution à la juste mesure de leurs capacités. Attention, on ne touche pas à l'outil de travail, car rappelons-le, l'investissement productif est un trésor national à préserver !
Pas de polémique sur les vacances
En tout cas, pas de panique, tout le monde a le droit d'être en vacances selon le président Macron. Même s'il faut bien avouer que Marine Le Pen aurait aimé recevoir une réponse un peu plus rapide à son courrier. Ah, la politique et ses délais interminables...