L'équipe de France de basket masculin démarre sur les chapeaux de roues
Ah, l'équipe de France masculine de basket, tout un programme. Après avoir fait trembler les Etats-Unis l'année dernière, les voilà de retour sur le parquet pour l'Euro. Et pas question de laisser filer la Belgique, hein.
Le turnover, une vraie spécialité de l'équipe de France
On ne peut pas dire que l'équipe soit restée figée en un an. Si certains noms sont toujours là, comme celui de Guerschon Yabusele, d'autres se sont envolés vers d'autres horizons (coucou Nicolas Batum et Nando De Colo). Le coach lui-même a changé, pour laisser sa place à Frédéric Fauthoux, ancien meneur international qui doit jongler avec les absences.
Qui a dit que c'était facile d'être fan de basket en France ?
Entre les retraites internationales, les pépins physiques et les joueurs occupés par la NBA, le nouveau sélectionneur ne va pas chômer. Mais bon, avec une victoire aisé contre la Belgique, il peut au moins se dire que tout n'est pas perdu. Au moins pour l'instant. ## Les rescapés des JO font le show à Paris
C'est avec une équipe amputée de la plupart de ses membres ayant participé aux JO que les Bleus ont montré l'exemple. Bilal Coulibaly et Guerschon Yabusele ont fait le job en marquant les huit premiers points de l'équipe, avec l'aide de jeunes pépites comme Zaccharie Risacher et Alexandre Sarr, fraîchement draftés par la NBA.
Une victoire sans surprise contre la Belgique
Au terme du premier quart-temps, l'équipe menait déjà 18 à 10. En seulement 10 minutes de plus, l'écart avait doublé (43-27), avec chaque joueur de l'équipe ayant mis un panier. Malgré cela, aucun joueur n'a réussi à dépasser les 15 points. Mais bon, peu importe, une huitième victoire consécutive face aux Lions belges, c'est déjà ça de pris.
Prochain rendez-vous avec la Slovénie de Luka Doncic
Après cette victoire facile, les Bleus affronteront la redoutable équipe slovène de Luka Doncic, la future légende des Los Angeles Lakers (selon lui). Ensuite, ce sera au tour d'Israël, de la Pologne et de l'Islande de subir la foudre française. Autant dire que les adversaires ont du mouron à se faire.